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SNUDI-FO 18

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22 mars 2017

En 2017, les directeurs d’école seront-ils placés sous la tutelle des mairies ?

logosnudi-fo18 (2)En 2017, les directeurs d’école seront-ils placés sous la tutelle des mairies ?
Le SNUDI-FO s’y oppose

Dans le cadre de la campagne initiée par la FNEC FPFO, le SNUDI-FO combat le projet de décret sur l’évaluation des enseignants dont l’application porterait un coup aux garanties statutaires collectives obtenues depuis 50 ans. Ce projet de décret découle de l’application du PPCR.
Dans le projet de grille d’évaluation des enseignants élaborée par la ministre de l’Éducation nationale figure l’item n° 7 :
« Contribuer à l’action de la communauté éducative et coopérer avec les parents d’élèves et les partenaires de l’école/établissement ».
Ainsi, l’enseignant serait évalué sur sa capacité à se soumettre aux désidératas des parents et aux exigences des municipalités. C’est la suite logique de la réforme des rythmes scolaires et de l’instauration du PEdT. Après la modification du statut de l’École républicaine, la ministre s’en prend aux garanties qui fondent le statut de fonctionnaire d’État et les statuts particuliers des enseignants.
Au centre de cette transformation, le directeur d’école, principal interlocuteur des mairies et des associations de parents d’élèves, serait exposé aux redoutables conséquences de cette évaluation.
JUGEZ PLUTÔT CE QUE SIGNIFIERAIT LA MISE EN OEUVRE DU PROJET dans notre "spécial 4 pages directeurs"

spécial_directeur

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9 mars 2017

Fin de la distinction BD/ZIL et «affectation dans des services» Inacceptable !

logosnudi-fo18 (2)Projet de décret sur le remplacement dans le 1er degré

 Dans la logique de l’inversion de la hiérarchie des normes de la loi Travail inscrite dans la loi de refondation,les rythmes scolaires, le PPCR avec l’évaluation, la ministre utilise les problèmes de remplacement pour s’attaquer au statut des PE. Le 3 mars, elle a présenté aux organisations syndicales un projet de décret « relatif à l’exercice des fonctions de remplacement des enseignants du 1er degré », accompagné d’un projet de circulaire. 

Lire la suite..... : Communiqué remplaçants

 

9 mars 2017

Résultat des permutations: aucune amélioration!

logosnudi-fo18 (2)42 % de satisfaction en 2005, 23,95 % en 2016.

Ces résultats remettent en cause le droit à mutation. Ils sont la conséquence du manque de postes et de la politique d’austérité appliquée à tous​ depuis des années​.

communiqué complet permutations

9 mars 2017

DIRECTION D’ÉCOLE

logosnudi-fo18 (2)Le SNUDI-FO met en garde sur les 16 engagements de la ministre contre... le décret de 1989 fixant lafonction et les obligations des directeurs.

Le SNUDI-FO a pris connaissance des engagements de la ministre de l’Éducation nationale qui les inscrit très clairement dans le prolongement de loi de Refondation de l’école.Effectivement, comme la loi PEILLON, ces engagements qui devraient déboucher sur une énième charte engageant les signataires, se caractérisent par une volonté de déréglementer la fonction et les obligations des directeurs.       

Communiqué complet direction d'école 

Le SNUDI-FO demande l’ouverture de vraies négociations le 9 mars 2017 sur les revendications concernant la direction d’école :
► respect du décret de 1989 et suppression des tâches non réglementaires ;
► abandon du référentiel métier non réglementaire, abandon des protocoles locaux ;
► abandon des postes de direction profilés ;
► arrêt de l’intrusion des municipalités et des associations dans l’école ;
► stricte séparation du scolaire et du périscolaire, arrêt de la réforme des rythmes scolaires ;
► revalorisation financière du système indemnitaire (100 points d’indice pour tous) ;
► augmentation du nombre de journées de décharges nécessaires pour pouvoir assurer les missions administratives.

9 mars 2017

35000 manifestants à Paris ; une délégation du Cher était présente

   Le 7 mars, 35 000 manifestants à Paris, un cortège FO très fourni, des délégations importantes de province et de région parisienne, des banderoles de syndicats de l’hospitalière, de l’action sociale, de la fonction publique territoriale, d’unions départementales et d’enseignants. La présence des syndicats de la FNEC FP-FO était très significative, rassemblant des centaines de syndiqués de l’enseignement, de la culture et de la formation professionnelle.

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8 mars 2017

Dispositif REP+ : un laboratoire de la dérèglementation

logosnudi-fo18 (2)Dans le cadre de la refondation de l’école, le dispositif REP+ est maintenant en place depuis trois ans.
Côté cour, la ministre « communique » sur les journées libérées pour les enseignants et sur l’indemnité REP+.
Côté jardin, le dispositif est un véritable laboratoire de la dérèglementation permettant toutes les dérives locales en matière d’annualisation de temps de travail et de flexibilité. Il permet également aux inspecteurs d’académie de généraliser les postes à profil, notamment pour la direction d’école, contre le barème et le statut.
Il aboutit même parfois à des situations ubuesques avec l’ensemble des titulaires d’une école absents sur la même journée, et remplacés par des brigades REP+ qui sont souvent de jeunes collègues, ce qui ne peut qu’être facteur de désorganisation de l’école.

Le SNUDI-FO défendra pied à pied le statut et les conditions de travail des enseignants, ainsi que l’intérêt de l’école publique, face à cette dérèglementation organisée.

Le SNUDI-FO invite les syndicats départementaux à réunir les personnels REP+, adjoints, directeurs et remplaçants, et à prendre toutes les initiatives pour faire valoir leurs revendications.

spécial_REP+

8 février 2017

Grève du 7 mars

logosnudi-fo18 (2)Mardi 7 mars, la FNEC-FP FO appelle les enseignants à la grève et à la manifestation nationale, au côté des hospitaliers, des territoriaux, des personnels de la Sécurité sociale :

- Pour la défense du statut et pour l’abandon de PPCR qui se traduit chez nous notamment par la réforme de l’évaluation
- Pour l’augmentation du point d’indice d’au moins 5% alors que nos salaires ont encore baissé en janvier
- Contre la territorialisation-destruction de tous les services publics, en en particulier de l’Éducation Nationale
- Pour la défense de la Sécurité Sociale

Appel SNUDI-FO pour le 7 mars

3 février 2017

Carte scolaire : La FNEC-FP-FO vote contre

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Comité Technique Spécial Départemental du jeudi 2 février 2017 : carte scolaire

La FNEC-FP-FO vote contre

La FNEC-FP-FO  s’inquiétait vis-à-vis de la dotation nulle pour notre département même si le nombre d'élèves dans le Cher diminue (-103 élèves).
   Pourtant il existe des besoins réels que nos collègues ne cessent de nous faire remonter. Ces besoins sont en terme de postes de remplaçants, de RASED, de classes spécialisées mais aussi en terme de postes classe. Les conditions de travail sont de plus en plus difficiles. Les problèmes de comportement se multiplient dans les classes, aggravés par une gestion toujours plus compliquée de toutes les particularités des élèves. Par ailleurs, il n'est pas rare désormais de voir des classes à cours simple, double ou plus à 27/28/29 voire au dessus de 30 élèves. Tous ces faits ajoutés à la réforme des rythmes scolaires dégradent considérablement les conditions de travail des enseignants et accroissent leur fatigue.

 6 ouvertures pour 13 fermetures définitives de postes "classe"(Carte scolaire donnée par la DSDEN : carte_scolaire2017)

Notre département n’échappe pas à ce démantèlement progressif de l’école de la République et à la dégradation des conditions de travail des enseignants. La FNEC-FP-FO qui ne juge que par les faits constate que le CSTD du 2 février 2017 engendre 13 fermetures définitives pour seulement 6 ouvertures de postes "classe" (cf pointe jointe) . 

De nombreuses écoles travaillent et continueront à travailler avec des effectifs dépassant les 25 élèves de moyenne avec parfois 30 élèves pour certaines classes.

 1 poste de RASED (ouverture conditionnelle)

 Les conditions de travail sont de plus en plus difficiles. Les problèmes de comportement se multiplient dans les classes, aggravés par une gestion toujours plus compliquée de toutes les particularités des élèves. L’absence de classes spécialisées et l'absence d'intervention du RASED que le poste supplémentaire(conditionnel) ne saurait réduire mettent de plus en plus d'élèves et de maîtres en souffrance.

Pour la FNEC-FP-FO, la « plus-value » pédagogique c’est réduire les effectifs de classe, c’est rétablir les RASED, c’est créer des postes dans les établissements spécialisés.

 4,5 postes pour la refondation de l’école !

 La FNEC-FP-FO dénonce toujours le fait que le DASEN soit contraint dans le cadre de la refondation de l'école de réserver des postes « PDMQDC » (plus de maîtres que de classes, +4,5) quand ils seraient nécessaires pour annuler des fermetures de classes prévues ou des ouvertures nécessaires. Les modalités d’affectations des enseignants sur ces postes étiquetés sont d’ailleurs extrêmement inquiétantes.

 Sans remettre en cause l’investissement des collègues qui occupent ces postes et leur volonté de mener à bien leur mission et au-delà de toutes les justifications pédagogiques, les dispositifs « PDMQDC » s’inscrivent dans un processus. Ils remettent en cause les garanties statutaires et l’implantation des classes ordinaires.

Le profilage de postes s’inscrit dans une politique de contractualisation, d’individualisation et de mise en concurrence des personnels qui remet en cause les droits collectifs des agents et ne garantit plus le traitement égalitaire de tous les enseignants, le barème devant être l’unique élément d’affectation…

 5 ouvertures conditionnelles et 5 fermetures révisables

 La FNEC-FP-FO s'oppose autant aux fermetures de rentrée qu'aux mesures « conditionnelles» qui sont bien souvent des hochets utilisés pour désamorcer les mobilisations d'enseignants et parents d'élèves pour défendre leur école. Par ailleurs ces mesures conditionnelles ne permettent pas aux collègues en poste d’appréhender avec sérénité la rentrée prochaine. Enfin les ouvertures conditionnelles ne pourront apparaître au mouvement empêchant ainsi les collègues de les obtenir.

 6 votes contre (FNEC-FP-FO et FSU) et 4 abstentions (UNSA)

 La carte scolaire présentée ne répond donc en rien aux attentes promises par le gouvernement et aux besoins réels sur le terrain évoqués par nos collègues.

La FNEC-FP-FO a voté contre.

14 décembre 2016

Projets ministériels sur le numérique :Alerte !

Le 28 novembre dernier, le ministère de l’Éducation nationale invitait enfin les organisations syndicales à prendre connaissance des projets de textes visant à transformer Base Elève en ONDE (Outil Numérique pour la Direction d’Ecole) concoctés avec un « comité de directeurs » choisis et déclarés représentatifs par le ministère en dehors des organisations syndicales.

Augmentation et alourdissement des tâches des directeurs
Mise en cause des statuts des personnels et de l’école

Présentés comme un outil pour mettre en place la réforme ministérielle et l’école inclusive, ces documents visent en fait sous prétexte d’informatisation à placer en ligne directe les directeurs sous la coupe des municipalités qui auraient accès à la plupart des données contenues jusqu’à la répartition nominales des élèves dans les classes, les emplois du temps pédagogiques, etc ….

Les promoteurs de ce logiciel ont même prévu la possibilité pour les familles d’intervenir sur la correction des données dans un premier temps.

Offensive pour placer les écoles sous la coupe des élus politiques

Concernant l’utilisation d’AFFELNET, le ministère a conforté les craintes de la FNEC FP-FO. Ainsi, les directeurs seraient maintenant les responsables administratifs de la répartition des élèves entre les collèges dans le cadre de la carte scolaire et de la mixité sociale.

Enfin, sous prétexte d’amélioration des outils informatiques, le ministère entend imposer un cahier de bord (Renseignements pour la gestion des élèves et des personnels visant à supplanter celui utilisé actuellement par les IEN pour transférer ces missions aux directeurs).

Le mercredi 23 novembre, lors d’un groupe de travail consacré au numérique, plus spécifiquement à un projet d’arrêté relatif au traitement de déploiement des équipements mobiles (tablettes) dans les établissements et les écoles, il était déjà apparu nettement que dans le 1er degré le DASEN était responsable du traitement et pouvait signer des conventions avec des communes portant sur l’utilisation des tablettes dans les écoles. Il a d’ailleurs été précisé que ces conventions pouvaient tout à fait concerner et définir une utilisation partagée de ces tablettes entre l’école et le périscolaire. Ainsi par ces conventions, les directions d’école seraient soumis à une charge de travail supplémentaire et directement seraient placées sous la tutelle des élus politiques. Au vu de cette situation inacceptable les représentants de la FNEC FP-FO ont demandé que le projet d’arrêté ne soit pas présenté au CTM du 7 décembre. Réponse du représentant de la ministre :

« Nous maintenons le passage au CTM du 7. Je suis responsable des problèmes numériques, pas des problèmes statutaires ».

Pour le SNUDI-FO, les intentions de la ministre sont parfaitement claires :

1 – instituer une représentativité spécifique des directeurs d’écoles (en les dissociant du reste des PE) fabriquée par le ministère contre la représentation syndicale pourtant seule contrôlable en vue de remettre en cause la place des organisations syndicales indépendantes ;

2 – placer un peu plus les directeurs d’écoles sous la coupe des collectivités locales contre les garanties statutaires contenues dans le décret de 1989 ;

3 – leur conférer officieusement un statut de chef d’établissement au détriment de l’existence même des I.E.N. C’est la raison pour laquelle le SNUDI-FO demande l’abandon de ces projets qui prépareraient une deuxième étape : celle du recrutement des enseignants par les chefs d’établissements aux ordres des collectivités locales.

14 décembre 2016

L’OCDE assure la promotion des contre-réformes

Les résultats de l’enquête PISA 2015 viennent d’être rendus publics par l’OCDE.

La poursuite des politiques d’austérité

Rappelons que ces tests n’évaluent pas la maîtrise des programmes scolaires par les élèves mais les compétences. Cela n’a pas empêché les nombreux commentateurs d’y trouver la vertu de révéler l’échec des politiques de droite, selon la gauche, et l’échec des politiques de gauche, selon la droite. L’actuelle ministre voit donc dans la publication de ces résultats une occasion de vanter les réformes découlant de la Refondation et de fustiger les précédentes. Comme s’il n’y avait pas de continuité, comme si toutes ces réformes n’avaient pas en commun de diminuer les heures de cours et d’aggraver les inégalités en renforçant l’autonomie des établissements.

Marchant dans les pas de la loi d’orientation Fillon de 2005, les ministres de la Refondation n’ont fait que poursuivre les politiques de destruction de l’école publique : instruction réduite à un vague socle commun de connaissances et de compétences, remise en cause du caractère national de l’école au bénéfice des projets territoriaux, formation professionnelle sous la coupe des régions et des patrons, intrusion grandissante des groupes de pressions politiques et économiques, remise en cause de la laïcité… Quant aux 54 000 postes promis, aucun enseignant ne les a vus. Les classes restent surchargées et les fermetures d’écoles se poursuivent.

La ministre, bonne élève de l’OCDE

« Mme la ministre vous avez engagé des réformes proches des bonnes pratiques. On vous encourage à aller plus loin », lance Gabriela Ramos, conseillère spéciale du secrétaire général de l’OCDE ce mardi 6 décembre, dans la salle de conférence où elle dévoilait les résultats de l’édition 2016, en présence de Najat Vallaud-Belkacem.

Un soutien qui vient à point nommé, au moment où la ministre cherche à faire passer en force sa réforme de l’évaluation des enseignants. D’ailleurs, dans son guide des bonnes pratiques, l’OCDE recommande d’« approfondir la réflexion sur le statut des enseignants », en mettant en place le salaire au mérite et l’obligation de se former tout au long de la vie. L’officine internationale cite en exemple le Japon, où une loi impose, tous les dix ans, l’obligation pour les professeurs de prouver qu’ils sont à jour sur leurs compétences.

Pour Force Ouvrière, c’est maintenant qu’il faut résister aux réformes dévastatrices que le gouvernement entend imposer à l’école républicaine, à son fonctionnement, à ses missions et aux fonctionnaires d’État de toutes catégories du ministère de l’Éducation nationale.

L’enquête Pisa est organisée par l’OCDE et est menée tous les trois ans auprès de jeunes de 15 ans. L’Organisation de Coopération et de Développement Economique formule régulièrement des stratégies conçues pour opérer des réformes structurelles et désengager le budget de l’État des services publics sans provoquer de « mécontentements ». Ainsi était-il recommandé, dès 1996, non « la baisse de la quantité », mais « la baisse de la qualité » dans certains établissements et pas dans d’autres pour rendre insensible aux familles la destruction programmée du service public d’Éducation.

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