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SNUDI-FO 18

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21 septembre 2016

Direction d'école

logosnudi-fo18 (2)Sous couvert de « simplification des tâches »,

la ministre entend aggraver la charge de travail des directeurs

et leur imposer de nouvelles missions

 Le 7 septembre, le ministère a réuni un groupe de travail relatif à la « simplification des tâches des directeurs » et à la mise en œuvre du référentiel métier (BO spécial n°7 du 11-12-2014). Evoquer une « simplification », voire un « allègement » des tâches est pour le moins inopportun dans une situation où les directeurs, qui sont des enseignants chargés de classe pour l’immense majorité, et non des chefs d’établissement, doivent se transformer en exécutants des politiques territoriales (rythmes scolaires, PEDT…), des dispositifs de refondation de l’école et même de prévention des actes de terrorisme. Autant de nouvelles missions qui dérogent au décret du 24 février 1989 définissant la fonction.

 Toujours plus de travail et de responsabilités

 D’entrée, soulignant le contexte d’extrême tension de la rentrée, le SNUDI-FO a insisté sur l’aggravation des conditions de travail des directeurs chargés de mettre en œuvre les mesures de sécurité complémentaires qui ajoutent à la confusion et à la complexité de celles définies par la circulaire de novembre 2015. Pour FO, les dispositifs de sécurité relevant des obligations de l’Etat, les directeurs ne sauraient se substituer ni aux forces de l’ordre, ni aux collectivités territoriales. Le syndicat a en particulier demandé l’abandon immédiat de la mesure qui consiste à leur demander de solliciter des parents qui aideraient pour « la sensibilisation et la mise en œuvre des règles définies pour assurer la sécurité des entrées et des sorties des élèves ». Qui sélectionne et sur quels critères les parents volontaires ? Qui définit leurs tâches et les contrôle ? Qui porterait la responsabilité du choix de tel ou tel parent en cas d’incidents ? Qui assumerait la responsabilité pénale en cas d’accidents ?

 FO exige la convocation immédiate d’un CHS-CT ministériel

Le SNUDI-FO a dénoncé l’absence de réponse de la ministre à la demande de la FNEC FP-FO de réunion du CHSCT ministériel, instance qui doit être consultée sur les règlements et consignes de sécurité. Il a rappelé l’avis unanime adopté par les représentants FO, FSU, UNSA lors du CHSCT M du 11 février 2016 réclamant « des clarifications de responsabilités » notamment sur le plan de la rédaction des PPMS.

Des tâches et obligations supplémentaires…l’exemple du BE 1D (base élèves)

 Sous prétexte de « simplification », le ministère entend notamment réintroduire la saisie des catégories socio professionnelles (CSP) dans le logiciel BE 1D, une donnée fortement contestée sur le fond et la forme et abandonnée en 2008. Le SNUDI-FO a réagi au travail considérable qu’imposerait cette mesure dont il a demandé l’abandon. Le ministère, en réponse au syndicat, a renvoyé à « d’autres discussions »…

 Le ministère « travaille sur la place des directeurs dans les PEDT »

 Faits à l’appui, le SNUDI-FO a souligné les conséquences des PEDT sur les conditions de travail et les garanties statutaires des directeurs. Pour le ministère, tout projet d’école devant désormais s’inscrire dans le PEDT, le directeur devrait, « en binôme » avec le responsable éducatif municipal, impulser et renforcer le  travail partenarial et l’articulation scolaire-périscolaire: organiser des temps de rencontre communs des personnels enseignants et territoriaux, des temps de travail et de formation conjoints, développer la liaison école/collège, la co-éducation avec les parents… D’ailleurs, le ministère a confirmé que « la DGESCO travaille sur la place des directeurs dans les PEDT ».

 Le SNUDI-FO a réaffirmé sa revendication d’abrogation

de la réforme des rythmes scolaires, d’abandon des PEDT et des protocoles locaux

La circulaire sur la simplification des tâches des directeurs, le référentiel métier et les protocoles départementaux et académiques démontrent que pour la ministre  le directeur doit devenir l’instrument de la politique de territorialisation du gouvernement et de la mise en œuvre de la loi de refondation.

Abandon du « référentiel métier des directeurs d’école »,

respect du décret n°89-122 du 24 février 1989

- pour l’abandon de toutes les mesures qui transfèrent aux directeurs d’école desresponsabilités qui ne relèvent pas de leurs fonctions (PPMS, DUER, AFFELNET...) ;

- pour une véritable amélioration du régime des décharges de service pour tous les directeurs, pas un directeur sans décharge statutaire, pour une aide administrative pour chaque directeur ;

- pour une réelle amélioration financière (100 points d’indice pour tous), le versement aux « faisant-fonction » d’une rémunération identique à celle des directeurs qu’ils remplacent ;

- pour l’abandon des protocoles  locaux, départementaux, académiques…;

- pour l'abandon des postes de direction profilés.

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2 mars 2016

CDEN 1er mars 2016

 logosnudi-fo18 (2)

Le SNUDI-FO18 qui ne juge que par les faits fait part de l'insuffisance de la dotation pour notre département eu égard aux promesses gouvernementales et aux besoins réels sur le terrain évoqués par nos collègues. La carte scolaire présentée ne répond donc en rien aux attentes.

 

Déclaration_liminaire_CDEN

Carte scolaire 2016

14 janvier 2016

Groupe de travail académique: carte scolaire 1er degré

Un groupe de travail académique concernant la carte scolaire 1er degré s'est tenu au rectorat jeudi 14 janvier. Le SNUDI-FO y était présent.

Une répartition de la dotation de 110 postes sera proposée au CTA : 4 postes pour le Cher (18 : 4; 28 : 7;  36 : 1; 37 : 13; 41 : 5 ; 45 : 80). Attention !! 10 postes seront prélevés sur ces dotations pour les allègements de service dont 1 dans le Cher.(18 : 1; 28 : 1,5 ; 36 :1; 37 : 2,5; 41 : 2; 45 :2)

Les moyens seront principalement attribués aux priorités ministérielles à savoir : dispositif plus de maîtres que de classes, dispositif Scolarisation des enfants de moins de 3 ans, décharges de directeurs d’écoles

Une dotation largement en dessous des besoins pour le SNUDI-FO :

Les représentants du recteur se sont félicités de la dotation de 110 postes pour l'académie et ont annoncé une dotation encore plus importante l'an prochain...

 Le SNUDI-FO qui ne juge que par les faits a fait part de l'insuffisance de la dotation eu égard aux besoins en terme de postes de remplaçants, de RASED (réseaux très souvent incomplets), de classes spécialisées mais aussi en terme d'effectifs alors que les classes sont surchargées avec des conditions de travail de plus en plus difficiles (notamment avec les élèves aux troubles du comportement sans soin).

La réforme territoriale amène les EPEP / EPSC …

 Les représentants du Recteur ont relayé la volonté ministérielle d'inciter les élus des communes de RPI dans les départements ruraux (18, 36 et 41) à réfléchir à des RPI concentrés. Notre académie est membre du groupe de travail national sur la ruralité. Le SNUDI-FO a exprimé sa vive inquiétude face à ce qui ressemble à du chantage : conventions avec le ministère qui garantiraient le maintien de tous les postes du RPI pendant 3 ans en cas d'acceptation des communes, avec soutien financier de l'état pour la construction des locaux (scolaire, périscolaire et petite enfance!).

 Le SNUDI-FO a fait le lien avec la réforme territoriale et le transfert de compétences des communes vers les communautés de communes et la multiplication de communes nouvelles.

Malgré la volonté de rassurer du secrétaire général du rectorat, on ne peut qu’y voir le rapport sur les circonscriptions et le projet d’EPEP et EPSC, Etablissement Public du Socle Commun.

La FNEC FP FO interviendra de nouveau sur ces sujets lors du Comité Technique Académique du 19/01.

logosnudi-fo18 (2)

25 avril 2019

Mouvement départemental : Enseignants à mobilité réduite

logosnudi-fo18 (2)    Le SNUDI-FO18 dénonce vivement les conditions du mouvement qui représentent un handicap sérieux pour ceux désirant y participer.

Le plus gros point noir de cette nouvelle circulaire reste l'introduction des vœux larges (voeux contraints...) qui vont aggraver les conditions d'affectation de nombreux collègues en leur attribuant des postes non choisis, potentiellement très éloignés de leur domicile.

 L’instauration des vœux larges, la multiplication des postes à profil ou à recrutement particulier (plus de 80 dans le Cher!), la limitation des vœux précis.... Tant de faits qui font que les enseignants du Cher n'ont le droit qu'à une mobilité réduite.

Le SNUDI-FO se bat au niveau national pour des règles respectueuses qui assurent un mouvement efficace avec des vœux précis et un barème pour tous les postes.

 Le serveur SIAM sera ouvert à partir du 17 avril jusqu'au 3 mai pour formuler ses voeux.

Nous rappelons quelques règles simples :

  •  La formulation des voeux se fait dans un ordre préférentiel : le rang d'un voeu n'a aucune influence sur la probabilité de l'obtenir. C'est votre barème qui est déterminant.
  • Ne vous censurez pas : si vous voulez vraiment un poste, demandez-le, même si "on" vous a dit que vous n'avez aucune chance de l'obtenir". Des informations officieuses vont circuler. Elles sont utiles, mais sont à considérer avec la plus grande prudence : en effet, nombre de collègues changent d'avis quant à leur participation au mouvement, ou ne communiquent pas.
  • Ne demandez en aucun cas, même en dernier voeu, un poste dont vous ne voulez pas. Comme indiqué plus haut, le rang d'un voeu n'influe pas sur la probabilité de l'obtenir : si vous avez un barème suffisant, on vous attribuera ce poste si vous n'avez pas obtenu vos autres voeux, et vous ne pourrez pas le refuser.
  • Si vous n'êtes pas titulaire d'un poste, que votre objectif est de le devenir, élargissez vos voeux au maximum. 
  • Attention aux postes en écoles primaires : ils sont identifiés "élémentaire" ou "maternelle" dans le mouvement, mais ça ne correspond pas nécessairement à la réalité sur le terrain. Il faut donc contacter les écoles, sachant que l'information donnée en mars n'est pas garantie, et que la situation peut avoir changé à la rentrée. Il n'y a pas de recours, la répartition étant une prérogative des directeur-trice-s, après avis des conseils des maîtres.

Calendrier pour le mouvement:

 

 ci-dessous le lien pour accéder à la circulaire mouvement et ses 14 annexes...

Syndiquez-vous !    

 C’est le premier des droits, celui qui permet de défendre tous les autres ! 


 

 

 

29 novembre 2018

Bienvenue

 

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Le SNUDI-FO18 n’adhère à aucune organisation politique et ne participe à aucun congrès politique.

Pour défendre les revendications face à l’Etat, notre employeur, un syndicat ne peut ni être lié, ni soutenir un gouvernement ou un parti politique, quel qu’il soit.

Pour être informé(e) des actions, des revendications, inscrivez-vous à la "newsletter!


 Le SNUDI-FO18 a pour but :

- la défense des intérêts des enseignants et de nos conditions de travail qui ne cessent de se dégrader (revalorisation financière des enseignants, réduction du nombre d’élèves par classe,  restauration des RASED,  allègement des programmes et des tâches administratives des directeurs..…)

- la défense de l'école publique laïque en s'ooposant à toutes les réformes qui conduisent à la territorialisation de l'école et à la destruction de notre statut de fonctionnaire d'Etat.

Le SNUDI-FO refuse:

- Toute compromission et toute co-gestion du système éducatif, car la défense des enseignants, de leur statut et de leurs conditions de travail DOIT RESTER SON OBJECTIF.

- Toute pression de quelque nature qu'elle soit.

En privilégiant toujours les intérêts des enseignants, en rejetant toute considération partisane et en offrant à tous la possibilité de s'exprimer, le SNUDI-FO 18 entend être un syndicat  différent.

 

Aidez -nous, par votre adhésion à faire vivre cette idée d'un syndicalisme réellement INDEPENDANT fait par les enseignants et pour les enseignants!

 

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    Afin d’être plus efficace mais aussi pour affirmer ses principes de solidarité, le syndicat adhère à

l'Union Départementale Force Ouvrière du Cher (UD-FO) et à la

Fédération Nationale de l'Enseignement, de la Culture et de la Formation Professionnelle Force Ouvrière(FNEC-FP-FO).

  


  CotiseFO-2Pour que ces valeurs soient défendues dans le Cher et

parce que la représentativité du syndicat en dépend,

rejoignez-nous au SNUDI-FO18 !

Ensemble, construisons une force syndicale indépendante.

    Télécharger le bulletin d'adhésion :

                     bulletin_adhesion_SNUDI_FO_18_2021      


 

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22 janvier 2014

Adhésion

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Syndiquez-vous !    

 C’est le premier des droits, celui qui permet de défendre tous les autres ! 

 

Les adhérents reçoivent:

 

  • L’Ecole Syndicaliste, le journal du syndicat national,
  • Le Syndicaliste indépendant, la publication de la Fédération Nationale de l’Enseignement, de la Culture et de la Formation Professionnelle (FNEC-FP-FO),
  • La Nouvelle Tribune, la revue de la Fédération Générale des Fonctionnaires (FGF-FO),
  • La lettre d’information électronique du syndicat.

 

LA FORCE DU SYNDICAT,

 

  • c’est son nombre de syndiqués:

 

   Parce que sa représentativité en dépend, parce que pour agir, il faut des moyens financiers (presse syndicale, affranchissements, déplacements, téléphone, documentation juridique, etc.). Les ressources du SNUDI-FO 18 ne proviennent que des cotisations des adhérents (aucune publicité commerciale dans les publications), ce qui garantit l’indépendance financière de l’organisation à l’égard de quiconque !

 

  • c’est son indépendance

 

  Pour défendre les revendications face à l’Etat, notre employeur, le syndicat ne saurait ni soutenir ni être lié à un gouvernement ou un parti politique, quel qu’il soit !

 

Se syndiquer donne des droits:

 

Être informé, et défendu en priorité en cas de besoin, la définition des orientations du syndicat et la participation aux prises dedécisions (Assemblée Générale, élection du Conseil Syndical…).

 

66 % de la cotisation est déductible de votre impôt.

 

 Télécharger le bulletin d'adhésion:

Adhésion en ligne

format papier: adhésion2023 

15 mars 2018

Résultat des permutations :une continuité dans la dégradation

2016120917233936718

Cette année, sur les 17 071 demandes de changement de département pour la rentrée 2018 (16 741 en 2017), seules 4 047 (4 009 en 2017) ont obtenu satisfaction, soit un taux de 23,70 % (23,94 % en 2017). Si on revient plus de 10 ans en arrière(1), le taux de satisfaction des permutations était de 42,74 % (soit presque deux fois plus). Quand cela va-t-il cesser ? Si les calibrages étaient plus élevés, le taux de satisfaction pourrait augmenter. Il s’agit donc bien d’une volonté politique de limiter les mutations.

Communiqué du 15_03_2018 : permutations.pdf

15 mars 2018

22 mars: grève dans la fonction publique

 

logosnudi-fo18 (2)Le SNUDI-FO 18 appelle à la grève le 22 mars avec les organisations syndicales de la Fonction publique

  • Pour se déclarer gréviste, envoyer un email (modèle ci-dessous) avant lundi 19 mars (minuit) à son IEN, au secrétariat de circonscription.  declaration_intention_greve

Pour FO, après le gel de la valeur du point d’indice, le rétablissement du jour de carence, l’augmentation des retenues pour pension et de la CSG, partiellement compensée, et les suppressions de postes et de 166 000 emplois aidés, les nouvelles annonces du gouvernement constituent une attaque sans précédent contre le statut général de la Fonction publique, les statuts particuliers, le code des pensions et les régimes spéciaux comme celui des cheminots.

Dans la suite de PPCR dont Force Ouvrière demande l’abandon, au nom d’un « nouveau contrat social », le gouvernement engage un nouveau cycle de « concertations » pour entraîner les organisations syndicales dans l’accompagnement de ses décisions pour : détruire le cadre statutaire jugé «  trop rigide  », remettre en cause l’évolution des carrières par l’instauration d’une « rémunération au mérite  », c’est-à-dire l’individualisation, supprimer 120 000 postes au travers notamment d’« un plan de départ volontaire  », privatiser les missions de service public, en commençant par la SNCF, et recourir plus largement encore aux contractuels.

Pour FO, il faut dès maintenant préparer le rapport de force, si possible dans l’action commune pour le retrait de ces mesures.

C’est pourquoi, avec la FNEC FP-FO18, le SNUDI-FO 18 appelle les collègues à participer massivement à la grève et aux manifestations du jeudi 22 mars à l’initiative des organisations syndicales de la Fonction publique FO, CGT, Solidaires et FSU pour :

  • le dégel de la valeur du point d’indice, le rattrapage des pertes subies
    et l’augmentation du pouvoir d’achat ;
  • l’abrogation du jour de carence ;
  • l’arrêt des suppressions d’emplois et des créations de poste en fonction des besoins ;
  • un plan de titularisation des personnels contractuels ;
  • le respect de l’égalité professionnelle ;
  • la défense et la pérennisation du système de retraite par répartition et des régimes particuliers ;
  • la préservation du statut général des fonctionnaires, et des statuts particuliers.

L’offensive du gouvernement contre les droits statutaires et les services publics frappe de plein fouet l’école publique et les enseignants

Sur tous les plans, les mesures du ministre Blanquer s’inscrivent dans ce plan d’ensemble de « transformation »/destruction de la Fonction publique. C’est notamment le cas avec la destruction du bac comme diplôme national dénoncé par les fédérations FNEC FP-FO – FSU – CGT – SUD – avec l’UNEF, l’UNL… et qui appellent à la grève le 22 mars pour obtenir l’annulation, du projet ministériel.

Pour préserver l’école publique et son caractère national, le statut de fonctionnaire d’État des PE, les postes et les diplômes nationaux, le SNUDI-FO agit pour préparer le rapport de force, si possible par l’action commune. Cette volonté de gagner a conduit le SNUDI-FO à proposer, comme cela a pu se faire dans plusieurs départements, un appel intersyndical au plan national au SNUipp-FSU, à la CGT Educ’action et à SUD Éducation :

  • contre les mesures de carte scolaire annoncées pour la rentrée 2018 qui donnent priorité aux dédoublements des CP et CE1 découlant d’annonces gouvernementales démagogiques et qui conduisent à des milliers de fermetures de classes, à la poursuite des suppressions de classes spécialisées, aux fusions d’écoles…
  • contre la destruction de l’école maternelle par les fermetures massives et la relance des jardins d’éveil municipaux ;
  • pour le retour à la semaine de 4 jours sur tout le territoire pendant 36 semaines comme cela a déjà été décidé dans 90 % des communes ;
  • pour le rétablissement de barèmes chiffrés basés essentiellement sur l’AGS, contre l’évaluation des enseignants qui individualise leur déroulement de carrière, instaure le salaire au mérite et l’arbitraire.

Le SNUDI-FO invite les collègues à se réunir pour établir leurs revendications, à adopter des motions d’écoles, de secteur posant le problème de la suite à donner si le gouvernement persiste.

Le 22 mars, avec tous les fonctionnaires:

Tous en grève et en manifestation à l’appel des organisations syndicales de la Fonction publique FO, CGT, Solidaires, et FSU

21 février 2018

La grande majorité des communes du Cher reviennent à la semaine de 4 jours !

 

logosnudi-fo18 (2)La semaine de 4 jours sur 36 semaines doit devenir la norme !

 Dans le Cher, en septembre 2 017, 72 communes sur 290 étaient revenues à la semaine de 4 jours.

Qu’en sera-t-il pour 2 018 ?

Saint-Martin-d’Auxigny, Berry-Bouy, Allogny La Chapelle Saint-Ursin, Aubigny-sur-Nère, Chârost, Civray, … pas un jour ne se passe sans que de nouvelles communes n’annoncent qu’elles adopteront la semaine de 4 jours à la rentrée 2018 ! En septembre prochain, plus de 90 % des communes du Cher devraient être revenues à la semaine de 4 jours, sur 36 semaines. La semaine de 4 jours, qui d’après le décret Blanquer, ne devait être qu’une dérogation à la semaine « Peillon » de 9 demi-journées, devient donc très largement majoritaire!

 La nouvelle vient de tomber : la Mairie de Bourges donne satisfaction aux écoles qui ont exprimé de façon très majoritaire leur volonté de revenir à la semaine des 4 jours ! (Reste maintenant au DASEN à valider cette organisation).

 Alors que des organisations (syndicales et autres) essayaient de nous faire croire que les enseignants étaient favorables à la réforme Peillon-Hamon des rythmes scolaires ou, a minima, que le retour aux 4 jours n’était pas une priorité pour eux,.. alors que des conférences étaient organisées pour promouvoir la semaine de 4 jours et 1/2..., le SNUDI-FO continuait, sans relâche, à porter la vraie voix des collègues, à faire remonter à l’administration les conséquences désastreuses sur nos conditions de travail de la réforme et à revendiquer son abrogation.

Fin janvier, le SNUDI-FO18 écrivait au Maire de Bourges pour lui faire part de notre position qu'il ne semblait pas partager.

Au début du mois de février, le SNUDI-FO18 consultait les enseignants sur les rythmes scolaires.

Au CTSD "carte scolaire", nous avons réaffirmé notre opposition à cette réforme lors de notre déclaration liminaire:

  "Le bilan de la réforme, tiré sur le terrain par ceux qui travaillent au plus près des élèves, est désastreux : confusion entre le scolaire et le périscolaire au sein des écoles qui impacte fortement l'enseignement, élèves excités par les NAP, journées et semaines de collectivité encore plus longues, activités NAP redondantes avec des activités proposées en classe, fatigue des enseignants et des élèves, jeudi "jour noir de la semaine" avec chutes, pleurs, énervements, indisponibilité des élèves.

 C'est dans ce cadre de volonté d'un retour à une Ecole Républicaine, gratuite, égalitaire sur tout le territoire français, pour la défense du Statut de fonctionnaire d'Etat, que nous vous avons demandé à Monsieur le Directeur Académique que toutes les demandes de retour à 4 jours soient accordées."

 Bien entendu, le problème n’est toujours pas réglé sur le fond, les décrets Peillon-Hamon n’ont pas été abrogés et les mairies gardent la main sur nos obligations de service… c’est pourquoi il faut continuer à signer la pétition nationale pour un retour à la semaine de 4 jours sur 36 semaines sur tout le territoire.

Pétition en ligne

 Le SNUDI-FO se félicite d’avoir été, dès le début,  dans ce combat et ne lâchera rien jusqu’à ce que les décrets Peillon-Hamon-Blanquer soient abrogés.

Pour autant, c’est un immense soupir de soulagement pour tous les collègues,dont la commune repasse à 4 jours, qui vont enfin pouvoir retrouver des conditions de travail un peu plus acceptables.

  Vous pouvez continuer à faire confiance au SNUDI-FO !

  La semaine de 4 jours, censée être l’exception, est largement majoritaire.

La semaine de 4 jours doit donc maintenant devenir la norme !

Le SNUDI-FO s’adresse en ce sens au ministre de l’Éducation nationale.

Le SNUDI-FO appelle les enseignants du 1er degré à la grève jeudi 22 mars, dans le cadre de l’appel des fédérations de fonctions de fonctionnaires FO, CGT, FSU, Solidaires, CFTC, CGC et FAFP :

- Pour un rythme national unique, pour la semaine de 4 jours sur 36 semaines pour tous sur tout le territoire national !

- Abrogation des décrets Peillon, Hamon et Blanquer qui territorialisent l’École de la République et disloquent le statut des PE fonctionnaires d’État

 

24 janvier 2018

Consultation des enseignants sur les rythmes scolaires

logosnudi-fo18 (2)C’est une évidence, la grande majorité des communes sera à 4 jours l’an prochain. Lorsque la dérogation devient largement majoritaire, elle doit devenir la norme : Monsieur le Ministre Blanquer se doit de faire de ce rythme de 4 jours le cadre national, la règle pour toutes les écoles de tous les départements.

Qu'en sera-t-il à Bourges et dans les autres communes du Cher?

Le Maire de Bourges a lancé des concertations sur ce sujet sans prendre véritablement part de l'avis des  enseignants adjoints.

 Le SNUDI-FO doit prochainement rencontrer cette municipalité et ne manquera pas d'intervenir pour le retour à la semaine de 4 jours.

Afin de recenser l'avis des enseignants et d'aider au mieux les écoles qui souhaitent le retour aux quatre jours, le snudi FO18 vous propose de donner votre avis ainsi que des renseignements sur les décisions prises au sujet des rythmes scolaires dans les conseils d'écoles en répondant à ces quelques questions rapides en cliquant sur un des liens ci-dessous :

N’hésitez pas à remplir ce questionnaire, collectivement ou à titre individuel.

Dans cette période, marquée par de nombreuses « consultations », où chacun donne son point de vue sur les horaires de travail des enseignants et le fonctionnement de l’école publique (parents d’élèves, associations…), ce questionnaire correspond à l’aspiration de nos collègues. Il constitue un point d’appui contre la territorialisation de l'école qui est la garantie du respect de nos statuts, de nos droits, de l’Ecole de la République et de l’égalité d’accès à l’éducation et à l’instruction.

 

 

21 décembre 2017

Le ministre Blanquer confirme : les régions académiques préfigurent les agences régionales d’Éducation

2logo_fnecLe dossier de la réforme territoriale fait encore couler beaucoup d’encre.

En effet, le ministre de l’éducation nationale, non content d’avoir ouvert une expérimentation dansles académies de Caen et de Rouen en y nommant un unique recteur, a récemment réaffirmé sa vision des changements que devraient vivre notre ministère : renforcement du travail étroit et partenariats avec les collectivités territoriales, renforcement de la déconcentration et de la gestion des ressources humaines par les académies.

Il ouvre la voie à une remise en question statutaire d’ampleur, considérant qu’il faut trouver de nouvelles pratiques entre les principes nationaux de recrutement et de mutation et les besoins en lien avec les politiques locales, de l’EPLE ou du département. Sa ligne est donc claire : des « principes nationaux » plutôt que des statuts nationaux, une gestion des personnels au gré des besoins et des politiques locales au détriment des garanties collectives.

C’est l’inversion de la hiérarchie des normes en préparation dans la Fonction publique.

C’est dans ce cadre que l’évaluation et l’individualisation des carrières, comme des salaires, prennent toute leur signification.

Les propos du ministre mettent en lumière ce que la FNEC FP-FO a analysé depuis longtemps : les attaques contre les statuts, la mise en place de l’évaluation, l’autonomie renforcée des établissements, vont de pair avec la remise en cause des diplômes nationaux. La fusion envisagée des académies dans le cadre des nouvelles régions académiques, c’est la mise en place d’Agences régionales de l’éducation. C’est la mise en place d’une éducation territorialisée.

Cette politique de régionalisation et de remise en cause du caractère national de l’éducation trouve écho dans le rapport de la Cour des comptes qui préconise la fusion des rectorats, la mutualisation des missions, la mise en place de services interdépartementaux, voire l’absorption de missions des DSDEN par les rectorats.

S’agissant du 1er degré : la cour enjoint de revoir le découpage des circonscriptions qui doivent correspondre aux nouveaux territoires de l’intercommunalité. De même elle préconise de généraliser les regroupements pédagogiques intercommunaux en attribuant la compétence scolaire et périscolaire aux intercommunalités.

La mise en œuvre de toutes les réformes se heurte aux statuts nationaux, véritables garanties individuelles et collectives des agents.

Si le ministre de l’éducation nationale considère que notre ministère est au milieu du gué, pour la FNEC FP-FO, il est hors de question de franchir le Rubicon.

C’est pourquoi Force Ouvrière revendique le maintien de toutes les garanties des personnels, de tous les services et de toutes les missions, de toutes les écoles et de tous les établissements.

21 décembre 2017

« Plan lecture » : un outil contre l’école et les statuts

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Décidément, si les enquêtes internationales n’existaient pas, il faudrait les inventer !

Chaque année, c’est le même rituel immuable. Le ministre en place commente le résultat de la dernière enquête internationale avec le même air navré. Puis, il annonce avec détermination des mesures… qui ont systématiquement pour caractéristique commune d’aggraver les réformes en cours.

Réformes qui conduisent toutes aux mêmes résultats : toujours moins d’instruction, toujours plus de dislocation de l’école.

Le ministre Blanquer ne fait pas exception à la règle. Collaborateur actif de plusieurs ministres successifs tout au long des quinze dernières années, le triste bilan dont il se désole est aussi le sien. S’appuyant sur l’enquête PIRL qui classe la France au 34ème rang des 50 pays évalués planlectureen matière de maîtrise de la lecture, il entend faire de cette question un objectif prioritaire. Louable dessein !

 

Annonce-t-il l’annulation de la réforme des rythmes scolaires qui est un facteur majeur de désorganisation de l’école ? Annonce-t-il son intention de revenir sur la réforme Darcos (ministre avec lequel il a travaillé), de rétablir toutes les heures de cours, tous les postes, tous les moyens en matière de remplacement, d’enseignement spécialisé… qui ont été supprimés ?

Surtout pas.

Le ministre maintient toutes les contre réformes et il les aggrave notamment en utilisant l’évaluation des enseignants comme un outil de pression permanent en vue de contraindre les personnels à mettre en œuvre des réformes qu’ils rejettent.

Qu’a décidé le ministre ?

Pour améliorer la maîtrise de la lecture, le ministre entend tout d’abord accélérer le dédoublement des classes. La FNEC FP FO rappelle que la mise en œuvre en septembre dernier de cette mesure massivement médiatisée se heurte dans nombre de communes à des problèmes insolubles de manques de locaux et que les CP dédoublés le sont au détriment des postes existants, des ouvertures de classe en maternelle et en élémentaire, des postes de titulaires-remplaçants, des postes spécialisés et de RASED.

Enfin, le ministre entend mettre l’accent sur la formation continue des enseignants : «Je suis le ministre de l’accompagnement pédagogique des professeurs», a-t-il déclaré. Rappelons que l’accompagnement pédagogique est l’une des mesures contenues dans la réforme de l’évaluation des enseignants imposée par N. Vallaud Belkacem et dont la FNEC FP FO exige le retrait.

En clair, si les objectifs fixés par le ministère par exemple en matière de lecture ne sont pas atteints par l’enseignant dans sa classe, c’est lui qui sera jugé responsable. L’évaluation sera l’outil chargé du traitement individualisé de la «défaillance» présumée de l’enseignant. A grands coups d’«accompagnement pédagogique», il sera corrigé, remis dans le droit chemin. Les élèves qui ne bénéficieront pas de meilleures conditions d’instruction n’y gagneront rien, et les personnels y trouveront une nouvelle remise en cause de leur liberté pédagogique inscrite dans leur statut.

Les personnels sont excédés de toutes ces tartufferies, des attaques incessantes contre leurs conditions de travail, contre leurs garanties statutaires.

Pour rétablir les conditions d’instruction, les solutions sont simples : rétablissement des postes supprimés, arrêt des contre réformes qui disloquent l’école, mettent en cause les statuts et fragilisent les personnels. C’est le mandat de la FNEC FP FO pour qui garantir le bon fonctionnement de l’école nécessite le respect des garanties statutaires.

C’est pourquoi nous exigeons l’abrogation de l’évaluation des enseignants et des entretiens professionnels.

21 décembre 2017

CSE du 14 décembre : le redoublement resterait exceptionnel mais avec plus de travail pour les enseignants !

2logo_fnecLe redoublement reste exceptionnel

 Le projet de décret qui a été présenté au CSE du 14 décembre ne rétablit pas le redoublement. Son caractère exceptionnel introduit par la loi de refondation Peillon n’est pas remis en cause. Il serait prononcé « A titre exceptionnel dans le cas où le dispositif d’aide prévu n’a pas permis (…) » (article 2)

Pas d’accompagnement individuel de l’élève, pas de redoublement

Le projet enjoint les enseignants du 1er degré (comme ceux du 2nd), « si l’élève rencontre des difficultés importantes d’apprentissage » à mettre en place un « dispositif d’accompagnement pédagogique » « immédiatement  » qui pourrait être un PPRE.

Mais cela n’est possible qu’après accompagnement pédagogique et phase de dialogue avec les parents. Ce n’est que si l’élève ne progresse pas et que le dispositif échoue que les enseignants pourront se prononcer pour un redoublement.

Autrement dit : les enseignants risquent bien d’être jugés responsables de l’échec de l’élève et, par conséquent, de son redoublement...On voit, dans un contexte où les pressions sont déjà très fortes, dans quelles conditions se mèneront le dialogue avec les familles...

Un accompagnement personnalisé mais avec quels moyens ?

Ce n’est pas le futur vademecum annoncé sur la question qui va régler cette question. Depuis des années les dispositifs d’aide aux élèves en difficulté ont été mis à mal, voire supprimés : les RASED ; la scolarisation des enfants de moins de 2 ans qui est passée de 34 à 14 %. Les effectifs dans les classes ne cessent d’augmenter. Et les postes de RASED, d’assistantes sociales, d’infirmières, de psychologues et de médecins scolaires ne cessent de diminuer.

Ce serait aux enseignants de combler les trous et de dépister les problèmes de santé liés aux apprentissages ?

Ce projet de décret poursuit donc et accentue le processus de désengagement du ministère de tous les dispositifs institutionnels d’aide et de prise en charge de la difficulté scolaire pour transférer cette responsabilité sur chaque enseignant de manière individuelle.

A l’heure où l’on évalue les enseignants sur des compétences telles que : « Construire mettre en œuvre et animer des situations d’enseignement et d’apprentissage prenant en compte la diversité des élèves » par exemple, ce serait la double peine pour les enseignants : pénalisés dans leur carrière et par le dispositif d’accompagnement pour une situation de pénurie dont ils ne sont pas les responsables et qu’ils sont les premiers à dénoncer.

La FNEC FP-FO a voté contre ce projet au CSE et continue à exiger la création des postes nécessaires de personnels.

Votes CSE :

Pour : (11) CFE-CGF, CFTC, PEEP

Contre : (42) FO, UNSA, FCPE, SGEN, SOLIDAIRES, SNUIPP-FSU,

Abstention : (13) SNES-FSU, SNUEP-FSU

3 octobre 2017

TOUS en grève le 10 octobre.

logosnudi-fo18 (2)Rassemblement ou manifestation prévus :

  • Bourges : 10 h 30 Place Séraucourt
  • Vierzon : 10 h 30 Forum République
  • St-Amand : 10 h 30 Place de la République
  • St-Florent : 10 h 30 Place de la République
  • La Guerche : 10 h 30 Place du Général de Gaulle
  • Non au blocage du point d’indice, non au salaire au mérite
  • Non à PPCR: non à la remise en cause des droits collectifs
  • Non à la précarité dans la fonction publique Non au licenciement de 150 000 contrats aidés
  • Oui au recours à la Liste Complémentaire
  • Non à la Territorialisation et à la casse des statuts

Communiqué "Appel à la grève du SNUDI-FO" en cliquant ici

21 septembre 2017

Rythmes scolaires

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A cette rentrée, 36,8 % des communes ont rétabli la semaine de 4 jours sur 36 semaines…

Pour le SNUDI-FO, ce qui est plus que jamais à l’ordre du jour :
- Rétablissement de la semaine à 4 jours sur tout le territoire national avec 24 heures d’enseignement par semaine, dans toutes les écoles, dans toutes les communes, sur 36 semaines ;
- Maintien de la définition nationale des dates de congés et vacances scolaires sans possibilité de dérogation.

La campagne rencontre une adhésion massive  !

Signez la pétition, prenez postion ici : PRISE DE POSITION EN LIGNE

ou sur papier (page 4 du document ci-dessous) :

4 Pages du SNUDI-FO National_Rythmes scolaires_Sept.2017

 

7 septembre 2017

Rendez-vous de carrière

logosnudi-fo18 (2)Si vous avez reçu le courrier ci-dessous dès le début des congés, n’en soyez pas surpris !
Seule la FNEC FP-FO a demandé le retrait du dispositif d’évaluation.

Madame, Monsieur,

Vous êtes éligible à un rendez-vous de carrière dans le cadre de la campagne 2017/2018 sous réserve que vous remplissiez de manière effective les conditions au 31/08/2018.
Pour vous permettre de vous y préparer, vous trouverez en suivant le lien SIAE une notice ainsi qu’un guide.

 Au 1er septembre, les enseignants seront reclassés selon des modalités que vous trouverez dans un article précédent. L’avancement au grand choix est supprimé. Les inspections sont remplacées par trois "rendez-vous de carrière".

A quel moment sont placés ces rendez-vous de carrière ? Serez-vous évalués cette année ?

- Le premier "rendez-vous de carrière" a lieu entre le 12ème et le 24ème mois du 6ème échelon. Suite à ces évaluations, 30% de collègues pourront accéder un an plus vite au 7ème échelon.

- Le deuxième "rendez-vous de carrière" a lieu entre le 18ème et le 30ème mois du 8ème échelon. Suite à ces évaluations, 30% de collègues pourront accéder un an plus vite au 9ème échelon.

- Le troisième "rendez-vous de carrière" a lieu entre le 12ème et le 24ème mois du 9ème échelon. Cette évaluation sera prise en compte pour le passage à la hors-classe.

Comment vont se dérouler ces "rendez-vous de carrière" ?

Ces rendez-vous de carrière consistent en une visite en classe de l’inspecteur puis d’un entretien. Les enseignants ne seront plus notés mais évalués en fonction de la grille de compétences que vous trouverez ci-dessous :

Compte-Rendu_Evaluation_Enseignant

Le SNUDI-FO s’est prononcé contre cette réforme qui :

  •  va ralentir la carrière de nombreux collègues en supprimant notamment le grand choix
  •  instaure l’évaluation sans note, et les promotions à la tête du client, dans un rapport individualisé avec l’inspecteur, sans contrôle des syndicats 
  • évalue les collègues sur nombre d’items qui n’ont rien à voir avec l’enseignement ("Contribuer à l’action de la communauté éducative et coopérer avec les parents d’élèves et les partenaires de l’école/l’établissement")

Le SNUDI-FO réaffirme son exigence d’abrogation du décret instaurant la réforme de l’évaluation.

6 septembre 2017

20 000 SUPPRESSIONS DE "CUI - CONTRATS AIDES"

jpg_jpg_Logo_FNEC_FP-2-1798c20 000 SUPPRESSIONS DE  "CUI - CONTRATS AIDES" DANS L'EDUCATION NATIONALE !

80 contrats aidés supprimés dans le Cher dans le 1er degré d'ici décembre 2 017 (EVS)

En effet ce dossier est très significatif de la politique du gouvernement qui en "100 jours" a multiplié les attaques contre les droits des salariés, du privé (Code du travail, ...) comme du public (suppression de postes, jour de carence, blocage du point d'indice, ...).

  On ne peut craindre que le pire :

  - déjà la situation était inacceptable pour les directeurs d'école privés d'aide administrative; qu'en sera-t-il en cette rentrée ? 

Cela montre la "valeur" des engagements ministériels sur la diminution de la charge de travail des directeurs ainsi que la "valeur" du "protocole académique de direction" que seul FO avait refusé de voter l'an passé en Comité Technique Académique (CTA).  

 - déjà la situation était catastrophique pour les personnels administratifs qui ont subi plus de 10 000 suppressions d'emplois statutaires en une quinzaine d'années et qui pourraient maintenant voir les CUI- Contrats aidés disparaître, avec un alourdissement encore un peu plus grand de leur charge de travail avec les conséquences que l'on peut imaginer pour l'ensemble des personnels enseignants ? 

  Nous ne laisserons pas faire !

 Si votre école est touchée par cette inacceptable mesure, contactez le SNUDI-FO18 dans les plus brefs délais : il y a URGENCE !

28 juin 2017

Après la publication du décret Blanquer sur les rythmes scolaires

 

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"Le ministre publie le décret sur les rythmes scolaires

 Pour le SNUDI-FO c’est toujours NON à la territorialisation

Oui aux 4 jours pour tous, sur 36 semaines,
sur tout le territoire national"

 

 

Partout en France, les enseignants syndiqués ou non, les personnels des collectivités territoriales, les parents adhèrent à ces revendications et agissent pour leur satisfaction.

Tous les jours, de nouvelles municipalités demandent à retourner à la semaine de 4 jours. Des centaines s’engagent pour septembre 2017 et des milliers pour la rentrée 2018.

Partout et pour tous, il s’agit de rétablir une organisation de la semaine scolaire commune à tous les enseignants de toutes les écoles du territoire national, ne fluctuant pas d’une ville à l’autre en fonction des orientations politiques des élus locaux, des finances des collectivités locales et des contingences territoriales.

Partout et pour tous, il s’agit d’en finir avec la calamiteuse réforme des rythmes scolaires et d’en finir également avec les décrets Peillon/Hamon, aggravés par le décret Blanquer qui assujettissent nos obligations statutaires d’enseignants-fonctionnaires d’État aux décisions des maires (ou des EPCI).


Le SNUDI -FO veillera à ce qu’aucun obstacle ne soit mis au passage 4 jours sur 36 semaines dès la rentrée 2 017. La volonté très majoritaire des enseignants doit être entendue.

Plus que jamais, amplifions la campagne pour:

4 jours pour tous (lundi, mardi, jeudi, vendredi), dans toutes les écoles, dans toutes les communes, sur 36 semaines !

Maintien de la définition nationale des dates de congés et vacances scolaires sans possibilité de dérogation !

Abandon des PEdT, non à l’ingérence des élus, non à la confusion scolaire/périscolaire !

Signez la pétition, prenez postion ici : PRISE DE POSITION EN LIGNE

 

Communiqué SNUDI-FO ci-dessous:

Le ministre publie  le décret sur les rythmes scolaires

31 mai 2017

Après l’audience du 24 mai avec le ministre ….

logosnudi-fo18 (2)Après l’audience du 24 mai avec le ministre ….

 Dans le cadre de l’audience de la FNEC FP-FO chez le ministre de l’Éducation nationale, les représentants du SNUDI FO ont abordé les questions spécifiques aux PE. Ainsi, ont été abordés : les récentes annonces sur les rythmes scolaires, le dédoublement des CP en REP+ à 12, les conséquences de l’inclusion scolaire systématique, la nécessité d’ouverture de la Liste complémentaire du CRPE plutôt que le recours aux contractuels.

 Annonce d’un possible retour à la semaine des 4 jours
« pour les communes qui le souhaitent » :

Le SNUDI-FO a rappelé que, depuis 2013, la majorité des problèmes dans les écoles était liée aux ingérences municipales dans le fonctionnement des écoles et à la mise en œuvre des PEdT. Les contraintes et les choix des mairies se sont imposés aux enseignants.

 Le SNUDI-FO a ajouté que la meilleure solution était le retour à une semaine scolaire organisée sur 4 jours répartie en 36 semaines et commune à toutes les écoles du territoire national. Cela mettrait fin à la confusion scolaire/périscolaire ouvrant la voie à toutes les ingérences municipales, ainsi qu’à l’utilisation des salles de classe à d’autres fins que l’enseignement, aux frais supplémentaires et aux problèmes d’organisation engendrés par la classe le mercredi matin.

De plus l’organisation de la semaine scolaire sur 4,5 jours impose de fait que les 108 heures soient placées le mercredi après-midi ou en soirée ce qui porte atteinte à la vie privée des enseignants.

 Le ministre a répondu qu’il était guidé par le pragmatisme sans fétichisme des 9 demi-journées. « Faisons ce qui convient aux acteurs de terrain dans l’intérêt des enfants » a-t-il précisé. À la rentrée 2017 « les maires volontaires pourront expérimenter s’il y a une grosse insatisfaction ». Pour la rentrée 2018, l’action du ministre sera guidée par le pragmatisme.

 Inclusion scolaire systématique : étudier les dossiers au cas par cas

Si le ministre réaffirme sa volonté d’accueillir tous les élèves, son « objectif est l’école inclusive pour tous les élèves sauf quand ils relèvent d’établissements spécialisés ».

Le SNUDI-FO a rappelé que les PE étaient justement confrontés à des situations ingérables du fait de l’inclusion systématique indépendamment de la nature et du degré du handicap de ces enfants.

Le SNUDI-FO a demandé que des consignes soient données aux autorités académiques pour que les délégations soient reçues afin de présenter les dossiers d’élèves qui « relèvent d’établissements spécialisés ».

 Conditions de la rentrée 2017 : recourir à la liste complémentaire

Le SNUDI-FO a demandé que soit mît fin le recours aux contractuels dans les écoles. Le nombre de contractuels est passé de 300 à environ 2000 en 18 mois. Cette situation de précarité grandissante n’est pas acceptable. Le SNUDI-FO a demandé que la liste complémentaire du CRPE soit abondée à hauteur des besoins et en particulier pour le remplacement.

Le ministre a exprimé un accord de principe tout en précisant qu’il ne veut pas dégrader le système avec les enseignants de liste complémentaire qui « ne seraient pas au niveau ». À l’objection du SNUDI-FO sur la précarité des enseignants ainsi recrutés, le ministre a tenu à préciser : « Les contractuels sont embauchés pour 1 an, les enseignants sur listes complémentaires pour 40 ans ! »

Le SNUD-FO rappelle que les Listes complémentaires reçoivent une formation l’année suivante de leur recrutement.

 Dédoublement des CP à 12 en REP + : des postes et des locaux !

 Le SNUDI-FO a rappelé que les affectations des PE fonctionnaires d’État étaient prononcées en CAPD, que les remplaçants étaient indispensables et ne pouvaient être utilisés à d’autres fins que le remplacement. De plus, ces dédoublements nécessaires posent le problème des locaux pour les accueillir dans des conditions correctes qui doivent respecter notamment les règles d’hygiène et de sécurité ainsi que les normes acoustiques… Il a demandé la création de postes pour opérer ces dédoublements.

 Ainsi à Toulouse, les 18 écoles REP + concernées ont besoin de l’ouverture de 27 classes de CP et de 2 postes pour compenser les décharges de direction et les ZIL REP+. Pour cela, l’IA décide de fermer les 22,5 postes de PDMQDC (plus de maîtres que de classes) de REP + et d‘ouvrir 7 postes sur les moyens propres du département, soit autant de classes en moins.

 Si les écoles ne disposent pas de salles supplémentaires, ces nouvelles classes pourront prendre place dans les salles informatiques, les BCD, les salles des maîtres, les salles des RASED, dans des structures mobiles type Algéco, etc... Le cas échéant, la mairie de Toulouse propose de poser des cloisons dans les classes de CP pour les dédoubler. Autant de situations inenvisageables pour les PE.

 Le ministre a pourtant confirmé : « il y en aura ! » — « on étudie la possibilité en redéployant les postes de PDMQDC qui pourraient couvrir de 30 à 70 pour cent des besoins et on a lancé une enquête en direction des recteurs, sinon on verra… ».

 Le SNUDI-FO invite les syndicats départementaux à réunir les PE pour réaffirmer leur exigence y compris dans l’action commune sur tout ou partie des revendications suivantes :

  • abrogation des décrets Peillon/Hamon sur les rythmes scolaires, pour laisser place au rétablissement d’une organisation de la semaine scolaire de 4 jours commune à toutes les écoles du territoire national et au maintien d’un calendrier scolaire national de 36 semaines et pas une semaine de plus, 
  • ouverture et abondement de la liste complémentaire pour créer les postes statutaires nécessaires et mettre fin aux emplois contractuels.
  • le maintien des postes et des structures spécialisées, le droit aux soins et à l’enseignement adapté contre l’inclusion systématique.

 

2 mars 2016

Spécial Remplaçants

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De 2007 à 2015, le nombre de titulaires remplaçants est passé de 26 906 à 25 144 soit 1762 suppressions de postes.
Ces dernières années, des départements ont connu de véritables saignées, perdant plusieurs dizaines de postes de remplaçants en application des budgets d’austérité et du développement, au détriment des postes statutaires, des postes à profil et des dispositifs de mise en oeuvre de la loi de refondation («Plus de maîtres que de classes» …)

Ici  ------->  8 pages "titulaires remplacants"

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25 mai 2015

Projet de circulaire SEGPA : Les craintes de la FNEC-FP-FO se confirment.

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Le MEN a réuni un Groupe de travail le lundi 18 mai, pour présenter un nouveau projet de circulaire SEGPA. Pour la FNECFP-FO et ses syndicats SNFOLC - SNETAA FO - SNUDI FO - ID FO, ce projet de circulaire est similaire à celui présenté lors du GT du 31 mars et dont elle a demandé l’abandon.

Pour la FNEC FP-FORCE OUVRIERE, toutes les modifications inscrites dans le nouveau projet de circulaire s’inscrivent dans la loi de refondation dont elle demande l’abrogation.

Ainsi le cycle CM1-CM2-6ème, la fin du droit au redoublement servent aujourd’hui à tenter de justifier la dilution des SEGPA au sein des classes du collège pour répondre au contexte d’austérité budgétaire aggravée qui menace tout l’édifice scolaire républicain.

 L’ « inclusion » contre la structure SEGPA au centre du projet…

 Malgré les affirmations de la Ministre de maintenir la structure SEGPA, la circulaire la transforme, de fait, en dispositif inclusif en classe de 6ème, extensible aux autres niveaux puisque les élèves seraient inscrits dans les classes ordinaires. Dès la première page du projet le ton est donné avec l’affirmation dans le paragraphe « Une structure spécifique pour une meilleure inclusion des élèves » que « l’inclusion favorise l’évolution des compétences et influe sur le comportement des élèves qui en bénéficient ».

FO rappelle que cette assertion ne repose sur aucune étude, comme a du le confirmer le ministère lors du 2ème GT sur les SEGPA.

 … malgré les affirmations contraires de la ministre

 La représentante du ministre a tenté d’expliquer que ce nouveau projet rétablissait l’inscription des élèves en classe de 6ème de SEGPA et non plus en 6ème ordinaire. Tout en précisant qu’elle « est destinée à rassurer les personnels sur le devenir de la SEGPA (sic ) ».

A contrario, FO constate que la phrase « les enseignants spécialisés de la SEGPA répondent aux besoins spécifiques des élèves qui en bénéficient soit en co-intervention au sein de la classe de référence, soit en petit groupes au sein de la SEGPA », laisse entendre que la classe de référence n’est plus la 6ème de SEGPA mais la 6ème ordinaire. Cette disposition ouvrirait la voie à l’élargissement de ce dispositif inclusif aux autres niveaux : 5ème, 4ème, 3ème... ce que FORCE OUVRIERE a également dénoncé.

Cette circulaire, en l’état actuel, signe la disparition de la SEGPA en tant que structure.

 Des remises en cause statutaires programmées

 De plus, l’affirmation que la SEGPA « doit également impulser la construction d’une nouvelle professionnalité des équipes en mutualisant les savoir-faire spécifiques de chacun (au service d’un collège plus inclusif, comme l’a précisé la représentante du MEN) », confirme la volonté ministérielle de remise en cause des corps spécifiques de chaque catégorie : PE Spécialisés, PLP ou Certifiés par la dilution de leurs missions et de leurs ORS.

 FO refusera toute diminution du montant des indemnités !

 Le représentant de la DGRH a également évoqué la proposition de « sortir de la logique du paiement des Heures de Coordination et de Synthèse » pour les remplacer par une indemnité forfaitaire annuelle au prétexte que tous les personnels exerçant en SEGPA ne percevaient pas ces HSE.

 La proposition ministérielle de verser une indemnité forfaitaire annuelle de 900 euros en remplacement des HSE pour les Heures de Coordination et de Synthèse conduirait à une perte  d’environ 500 à 600 euros par an pour les personnels concernés alors même que les PE Spécialisés exerçant en SEGPA sont exclus de l'ISAE de 400 euros perçue par les professeurs des écoles (et encore plus des 1200 euros d'ISOE perçues par les PLC et les PLP).

 FO réaffirme son exigence que tous les PE exerçant en SEGPA perçoivent l’ISAE comme tous les PE. Le représentant de la DGRH a répondu que « le niveau indemnitaire des PES exerçant en SEGPA est relativement important » !

 Le Ministère doit de nouveau revoir sa copie !

 Devant le refus majoritaire des organisations syndicales du projet de circulaire, le Ministère a du s’engager à revoir de  nouveau sa copie.

La FNEC FP-FO constate qu’entre la demande de l’UNSA d’inscrire des élèves en 6ème ordinaire et non plus en 6ème de SEGPA au nom de la logique de la loi de refondation, et les revendications de FORCE OUVRIERE, l’écriture de la nouvelle circulaire s’annonce des plus difficiles pour le Ministère.

Un prochain GT est prévu le 29 juin.

 La FNEC-FP-FO appelle les personnels des SEGPA à multiplier les prises de position pour réaffirmer leur refus de transformation de la structure SEGPA en dispositif inclusif qui aboutirait à son extinction pure et simple.

 

22 mars 2017

Le CAPPEI en lieu et place du CAPA-SH et du 2 CA-SH

logosnudi-fo18 (2)Le ministère recule sur la fusion des corps et les postes inter-degrés !

Le jeudi 9 mars se tenait un groupe de travail ministériel sur le CAPPEI et la partie Ressources Humaines.

Dernièrement, au BO, ont été publiés le décret et les arrêtés abrogeant les décrets CAPA-SH et 2 CA-SH et mettant en place le CAPPEI. Les arrêtés traitent des départs en formation et de l’examen, le tout avec l’insistance sur l’inclusion scolaire, essayant de remplacer l’enseignant spécialisé en personnel-ressource d’aide à l’inclusion...

Lors des groupes de travail précédents, il n’avait que très peu été abordé la question des postes et du mouvement, le ministère avait toutefois clairement exprimé sa volonté de permettre à tous les enseignants quelque soit leur corps (PE, certifié, PLP) d’avoir accès à tous les postes ASH...

Avec le CAPPEI la ministre entendait poursuivre sa logique de fusion des corps qui conduit à la remise en cause des statuts particuliers. La FNEC FP FO s’y était opposé.

Le ministère recule sur les postes inter-degrés et cherche des postes spécifiques ASH aux enseignants du second degré certifié, et PLP : ULIS Collège, Lycée, Lycée professionnel et référents !

CAPPEI

22 mars 2017

En 2017, les directeurs d’école seront-ils placés sous la tutelle des mairies ?

logosnudi-fo18 (2)En 2017, les directeurs d’école seront-ils placés sous la tutelle des mairies ?
Le SNUDI-FO s’y oppose

Dans le cadre de la campagne initiée par la FNEC FPFO, le SNUDI-FO combat le projet de décret sur l’évaluation des enseignants dont l’application porterait un coup aux garanties statutaires collectives obtenues depuis 50 ans. Ce projet de décret découle de l’application du PPCR.
Dans le projet de grille d’évaluation des enseignants élaborée par la ministre de l’Éducation nationale figure l’item n° 7 :
« Contribuer à l’action de la communauté éducative et coopérer avec les parents d’élèves et les partenaires de l’école/établissement ».
Ainsi, l’enseignant serait évalué sur sa capacité à se soumettre aux désidératas des parents et aux exigences des municipalités. C’est la suite logique de la réforme des rythmes scolaires et de l’instauration du PEdT. Après la modification du statut de l’École républicaine, la ministre s’en prend aux garanties qui fondent le statut de fonctionnaire d’État et les statuts particuliers des enseignants.
Au centre de cette transformation, le directeur d’école, principal interlocuteur des mairies et des associations de parents d’élèves, serait exposé aux redoutables conséquences de cette évaluation.
JUGEZ PLUTÔT CE QUE SIGNIFIERAIT LA MISE EN OEUVRE DU PROJET dans notre "spécial 4 pages directeurs"

spécial_directeur

9 mars 2017

Fin de la distinction BD/ZIL et «affectation dans des services» Inacceptable !

logosnudi-fo18 (2)Projet de décret sur le remplacement dans le 1er degré

 Dans la logique de l’inversion de la hiérarchie des normes de la loi Travail inscrite dans la loi de refondation,les rythmes scolaires, le PPCR avec l’évaluation, la ministre utilise les problèmes de remplacement pour s’attaquer au statut des PE. Le 3 mars, elle a présenté aux organisations syndicales un projet de décret « relatif à l’exercice des fonctions de remplacement des enseignants du 1er degré », accompagné d’un projet de circulaire. 

Lire la suite..... : Communiqué remplaçants

 

9 mars 2017

DIRECTION D’ÉCOLE

logosnudi-fo18 (2)Le SNUDI-FO met en garde sur les 16 engagements de la ministre contre... le décret de 1989 fixant lafonction et les obligations des directeurs.

Le SNUDI-FO a pris connaissance des engagements de la ministre de l’Éducation nationale qui les inscrit très clairement dans le prolongement de loi de Refondation de l’école.Effectivement, comme la loi PEILLON, ces engagements qui devraient déboucher sur une énième charte engageant les signataires, se caractérisent par une volonté de déréglementer la fonction et les obligations des directeurs.       

Communiqué complet direction d'école 

Le SNUDI-FO demande l’ouverture de vraies négociations le 9 mars 2017 sur les revendications concernant la direction d’école :
► respect du décret de 1989 et suppression des tâches non réglementaires ;
► abandon du référentiel métier non réglementaire, abandon des protocoles locaux ;
► abandon des postes de direction profilés ;
► arrêt de l’intrusion des municipalités et des associations dans l’école ;
► stricte séparation du scolaire et du périscolaire, arrêt de la réforme des rythmes scolaires ;
► revalorisation financière du système indemnitaire (100 points d’indice pour tous) ;
► augmentation du nombre de journées de décharges nécessaires pour pouvoir assurer les missions administratives.

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