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20 novembre 2014

Conférence nationale et Lettre ouverte à la Ministre

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250 délégués enseignants et territoriaux ont participé à la Conférence nationale pour la  suspension immédiate de la mise en œuvre  des décrets Peillon/Hamon sur les rythmes scolaires, et leur abrogation à l’initiative du SNUDI-FO avec la FNEC-FP, de la FSPS-FO.

La délégation de cette Conférence a été reçue le 19 novembre à 17h00 par la Ministre pour lui exposer la situation catastrophique que subissent les enseignants et les territoriaux et demander la suspension immédiate de la mise en place de la réforme et l’abrogation des décrets Peillon et Hamon.

 

Face au refus de la ministre de prendre en compte les faits accablants établis, nous avons décidé de :

 

  • publier l’intégralité des interventions,
  • mandaté la FNEC et la FSPS-FO pour réunir à nouveau l’interfédérale,
  • faire signer en masse la lettre ouverte à la ministre par les enseignants, les personnels territoriaux et les parents qui se conclut par « Vous ne nous laissez pas d’autres choix que d’amplifier la mobilisation, y compris par la grève ! ». Elle sera également adressée aux associations d’élus.

 

Le communiqué de compte rendu et la lettre ouverte: en cliquant ci-dessous

Conférence nationale du 19 novembre 2014

Lettre_ouverte_à la Ministre

 

 

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18 juin 2014

Rassemblement du 18 juin 2014 : Discours du SNUDI-FO18

15 juin 2014

Le SNUDI-FO présent devant les IA, les préfectures, au ministère, le 18 juin

logosnudi-fo18 (2)Mercredi 18 juin : journée de mobilisation dans toute la France

pour l'abrogation des décrets sur les rythmes scolaires

 

Le ministre doit répondre aux revendications des personnels.

 

Liste des rassemblements  (liste non exhaustive) !!!!


Rassemblement  du 18 juin au ministère


- En Seine-St-Denis,  SNUDI-FO, CGT-Educ'action et SUD

- A Paris,  le SNUDI-FO appellent au rassemblement au ministère.

- Dans le Val-de-Marne, SNUDI-FO/SNUipp/SUD/CGT/SE-UNSA

- Dans le Val-d’Oise : appel du SNUDI-FO au rassemblement au ministère.

- Dans l’Essonne,  SNUDI-FO. 80 communes n’ont à ce jour transmis aucun projet au DASEN.


  Rassemblement du 18 juin dans les autres départements


 - dans le Var (appel FNEC-FP-FO, SNUDI-FO, SNUipp-FSU, CGT-éduc’action, CGT-FSP; SUD éducation et SUD collectivité territoriales avec le soutien des UD FO et CGT),

- dans les Côtes d’Armor (SNUDI-FO, SNUipp-FSU, SUD)

- dans le Maine-et-Loire, le SNUipp, le SNUDI-FO et SUD appellent à un rassemblement « contre le passage en force de la mairie ». 

- dans le Gard (FNEC-FP-FO,  SPS-FO, CGT-éduc’action, CGT territoriaux, SUD-Éducation et SUD territoriaux),

- dans la Somme (appel SNUDI-FO, SUD, CGT soutenu par les UD FO et CGT), 

- en Gironde (SNUDI-FO, FO territoriaux, CGT Educ'action),

- dans l’Ain (SNUDI-FO, FO territoriaux, CGT Education),

- dans les Landes ( FO et CGT éduc’action)

- dans l’Hérault (FNEC FP-FO et CGT éduc’action)

- en Haute-Loire (FNEC FP-FO, territoriaux FO, SUD éducation)

- dans le Rhône  rassemblement FO

- dans les Bouches-du-Rhône  (le SNUDI-FO, le SNUipp, la CGT et SUD)

- dans le Cher: SNUDI-FO.

 

 Le SNUDI-FO, l’indépendance, LE SNUDI-FO la différence.

 

 

2 juin 2014

Communiqué intersyndicale Rythmes scolaires

Rythmes scolaires, le dossier n’est pas clos


Pour les organisations syndicales FNEC FP-FO, SPS-FO, CGT-Educ’action, CGT services publics, SUD-éducation, SUD Collectivités Territoriales et FAEN réunies le 26 mai 2014, le décret « d’assouplissement » de la réforme des rythmes scolaires loin de répondre à la demande des personnels aggrave les inégalités territoriales en laissant chaque commune organiser le temps scolaire sans cadrage national.

Communiqué_Intersyndicale_Rythmes_scolaires_30/05/2 014

27 mai 2014

Le seul assouplissement possible, c'est l'abrogation !

 Signez la pétition nationale en cliquant ICI

 Depuis des semaines, la pétition nationale lancée par le SNUDI-FO recueille chaque jour davantage de signatures pour exiger  "Le seul assouplissement possible, c’est l’abrogation ! ".

Dans le même temps…

- de nouvelles manifestations ont lieu dans les départements comme par exemple à Tarare dans le Rhône où 400 enseignants et parents se sont rassemblés devant la mairie pour le retrait des décrets Peillon/Hamon, à l’appel notamment des Unions locales FO et CGT ;

- de plus en plus de conseils municipaux annoncent qu’ils ne mettront pas en place la « réforme » à la prochaine rentrée.

 Un décret destructeur de nos garanties statutaires

 

Après les remplaçants, les PES ?

Après le projet de décret annualisant le temps de service des titulaires remplaçants et des compléments de temps partiels (que le ministre n’a pas encore pu publier), le ministre va-t-il annualiser les obligations de service des stagiaires ?

 

En effet,  à la rentrée, les PES devront effectuer 12 heures de service hebdomadaire sur deux journées consécutives. Si le décret Peillon-Hamon était généralisé, de nombreux PE stagiaires seraient affectés dans des écoles où la durée de la journée scolaire ne sera plus de 6 heures.

Dans ces conditions, comment les PES pourront-ils assurer leurs 12 heures d’enseignement hebdomadaire ?

Si le temps de classe fixé par le projet local durant leurs deux jours de service est inférieur à 12 heures, devront-ils  récupérer les heures manquantes ?

Le ministre va-il promulguer un décret annualisant les PES ?

 

Une seule issue l’abrogation

Depuis 18 mois, les PE se mobilisent, manifestent, font grève pour exiger l’abrogation du décret Peillon/Hamon. Ils ne se laisseront pas diviser entre les pires et les moins pires projets de chaque mairie.

Quel que soit le projet d’aménagement de la semaine scolaire de la mairie, toutes les remises en cause statutaires demeurent. Les PE refusent la territorialisation de l’école et de  leur statut de fonctionnaire d’Etat.

 C’est ce qu’expriment 54 PE de la Ville de Lyon

réunis avec le SNUDI-FO le 21 mai :

« Nous sommes 54 enseignants de 15 communes différentes réunis avec le SNUDI-FO mercredi 21 mai à Lyon. Nous avons pris connaissance du décret Hamon qui confirme et aggrave le décret Peillon et nous restons unis sur le fait  qu’il est inacceptable que les communes décident de notre emploi du temps et du fonctionnement de l’école publique. Nous demandons à nouveau l’abrogation des décrets Peillon et Hamon. La question d’une grève nationale se pose pour obtenir cette abrogation. »

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12 février 2014

Rythmes scolaires

 logosnudi-fo18 (2) "Rythmes scolaires" : la position du SNUDI - FO18

  LE SNUDI-FO18 DEMANDE L'ABROGATION DU DÉCRET SUR LES RYTHMES SCOLAIRES

 


 

Petit historique:

S’appuyant sur la signature en novembre 2007 d’un "protocole de discussion commun" Ministère / Se UNSA, Sgen CFDT et SNUipp FSU pour mettre en œuvre la suppression de deux heures d’enseignement, le ministre Darcos a remis en cause la définition des obligations de service des enseignants du 1er degré en heures hebdomadaires d’enseignement, a annualisé 108 heures de service et instauré l'aide personnalisée qu'il a instrumentalisée contre l'enseignement spécialisé (RASED).

En 2013, fort du soutien du soutien de certains syndicats à sa loi de refondation de l'Ecole, le ministre Peillon a augmenté le nombre de jours travaillés (semaine de 4 jours et demi) et donné aux municipalités le pouvoir de définir nos horaires de travail en fonction du Projet Educatif Territorial (PEDT).

En projet également, dans la loi de refondation, la réduction de 2 semaines des congés d'été.

Ainsi, de Darcos à Peillon, la voie a été ouverte à la mise en cause de notre statut national et du cadre national de l'Enseignement public dans une logique de dénationalisation comme le prônent l'Union Européenne et le Medef.

 Le SNUDI-FO18 réaffirme sa totale opposition à la déréglementation de nos obligations de service, à l'immixtion des élus locaux dans l'organisation du temps de travail des enseignants.

29 janvier 2014

Journal spécial statuts et métiers

 

Depuis des mois, le SNUDI-FO fait grève avec les personnels territoriaux et manifeste pour l’abrogation du décret du 24 janvier 2013 qui vise à territorialiser l’école.

 Toutes les informations dans le supplément 4 pages du SNUDI-FO:  Statutsmetiers

 

29 janvier 2014

Conseil d'école

 


Le 6 novembre 2013, le ministre a publié au JO un décret qui redéfinit la composition et les attributions du conseil d’école pour l'adapter aux exigences de territorialisation de l’école.

                                                         Plus d'infos ici:  Conseils_d'ecole


 

16 janvier 2014

Groupes de travail ministériels : deux fois deux heures pour revoir tous les statuts ?

 

Communiqué FNEC FP - FO du 14 janvier 2014

Dans la poursuite de la loi de refondation de l’école, Vincent Peillon, ministre de l’Education nationale, a ouvert 13 groupes de travail sur « les métiers et les parcours professionnels ». Depuis le 18 novembre se sont réunis les groupes de travail sur les directeurs d’école, RASED, conseillers pédagogiques, formateurs, professeurs des écoles, enseignants du second degré.

 

La mobilisation des professeurs des écoles le 14 novembre et le 5 décembre, celle des professeurs des classes préparatoires qui ont reconduit leur grève le 9 décembre a imposé au ministre de surseoir à ses décisions statutaires sur les professeurs des écoles et les enseignants du second degré.

Pour FO, les décisions annoncées le 12 décembre 2013 qui concernent les autres groupes de travail déjà tenus doivent être abandonnées.

Comment accepter la mutualisation des missions des directeurs d’école ?

Comment accepter l’annualisation du temps de travail des conseillers pédagogiques ?

Comment tolérer que sous prétexte de création d’un « statut » de maîtres formateurs dans le second degré, les MAT actuels devraient repasser leur certification, et les tuteurs du second degré subir une diminution de leur rémunération de 1000 € ?

Comment accepter le chantage au grade d’accès fonctionnel (GRAF) en lieu et place d’une augmentation de nos traitements (baisse de 0,46% en janvier 2014 suite à l’augmentation de la cotisation vieillesse) ? Rappelons que les personnels enseignants débutent aujourd’hui à 113% du SMIC, alors qu’en 1982, ils commençaient leur carrière à 180% du SMIC. !

Comment tolérer qu’au lieu du rétablissement du nombre de RASED, ils deviennent « réseaux d’aide du socle », leurs nouvelles missions prévoyant leur entrée dans les collèges au nom du socle de compétences et du cycle CM1-CM2-6ème.

Ce 13 janvier 2014 s’ouvrent de nouveaux groupes de travail sur les autres corps de personnels de l’éducation nationale (CPE, chefs de travaux, personnels de direction, d’inspection, administratifs, sociaux et de santé, contractuels). Comme dans les précédents groupes de travail, la FNEC FP-FO interviendra sur ses mandats en rappelant au ministre qu’il ne peut se prévaloir d’aucun consensus avec les personnels qui tant dans le second degré que dans le premier degré, rejettent des projets qui visent à « adapter » leur statut et leurs missions à la territorialisation de l’école.

Les personnels ne veulent pas d’un statut territorial.

Ils ne veulent pas d’un salaire individualisé avec la mise en place de primes définies localement.

Ils ne veulent pas que les établissements scolaires et les écoles soient transformés en « entreprises » dirigées par des « managers » appliquant des conventions tripartites locales.

LA FNEC FP-FO rappellera encore une fois au ministre que les textes statutaires -même anciens- constituent une protection pour les personnels, comme la sécurité sociale de 1945 ou le statut de la Fonction publique d’Etat de 1946.

Elle rappellera, au moment où le ministre vient de communiquer ses chiffres sur la rentrée scolaire 2014, que ce sont les conditions de travail, les effectifs, le traitement, les postes qui sont la priorité des personnels ; ils refusent la confusion - au nom d’une école "refondée"- des missions et des statuts retirant à chaque corps son statut particulier et ses missions statutaires.

Montreuil le 14 janvier 2014

 

14 janvier 2014

Temps partiel et rythmes scolaires

 

Les organisations d’horaires de semaines différentes d’une commune à l’autre instituées par le décret du 24 janvier sur les rythmes scolaires conduisent des DASEN à remettre en cause le droit au temps partiel défini par le décret Fonction publique du décret n°82-624 du 20juillet 1982.

 

Déjà dans le Rhône, en Haute Loire … les DASEN éditent des circulaires remettant en cause les quotités de temps partiel à 50%, 75 % et 80 %.

 

Diminution des « prestations du libre choix d’activités » jusqu’à 1000€

 

Pour ajuster les quotités de temps partiel aux exigences du décret sur les rythmes scolaires des DASEN tentent d’imposer aux enseignants : 51,2% contre 50%, 73,8% contre 75% et 80,9% contre 80%...

 

Or, un collègue travaillant à 50% (ou moins) perçoit 435,57 de la CAF au titre du complément de libre choix d'activité. En travaillant à plus de 50% (51,52%…) il ne touchera plus que 329,38€, soit une perte de 106,19€ par mois. Un collègue travaillant entre 50% et 80% perçoit 329,38€. En travaillant à plus de 80% (81,82%…), il ne percevra plus rien et perd donc 329,38€ par mois !

Cette diminution importante de revenus s’ajoute aux autres pertes déjà entraînées par la mise en oeuvre du décret : un trajet supplémentaire par semaine, frais de garde d'enfants....

Pour le respect du statut et des droits, une seule issue : l'abrogation du décret

 

 

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