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16 mai 2017

Accès à la Hors classe : le taux 2017 pour le passage à la hors classe est enfin fixé à 5,5% !

Dernière minute :

 Accès à la Hors classe :  le taux 2017 pour le passage à la hors classe est enfin fixé à 5,5%!

 Ces dernières semaines, le SNUDI-FO n’a cessé d’alerter et d’intervenir sur les dangers que constituaient les modifications des règles de passage à la hors classe et sur les craintes d’une remise en cause des taux de promotion.

 Le syndicat exigeait du ministère « Les engagements ministériels doivent être tenus. Le taux de promotion à la hors classe doit être au minimum de 5,5 % ».

 Après avoir longuement tergiversé, le ministère annonce que le taux de promotion à la hors classe sera bien de 5,5%. C’est enfin ce que précise officiellement un arrêté publié au Journal officiel du 11 mai 2017.

 Pour le SNUDI-FO, c’est un minimum : le taux de promotion à la hors classe des PE doit atteindre le plus rapidement possible le taux appliqué aux enseignants du 2nd degré, à savoir un taux de passage de 7 % des promouvables.

 De plus PPCR, dont les décrets ont été publiés au JO du 7 mai, réduit le nombre de promotions possibles à la Hors Classe de moitié. Ce bouleversement nécessite d’atteindre un taux d’au moins 14 % pour maintenir un nombre égal de PE promu à la Hors classe.

 Le SNUDI-FO rappelle qu’il demande également le rétablissement de la prise en compte de la notation au 31 décembre et non au 30 août.

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9 décembre 2016

Décrets PPCR au Comité Technique Ministériel : FO a voté contre

2logo_fnecPlus que jamais tout mettre en œuvre pour repousser le projet de refonte de l’évaluation des personnels enseignants et d’éducation.

Le Comité technique ministériel convoqué ce 7 décembre devait donner un avis sur les projets de décrets statutaires bouleversant les statuts des corps enseignants et des CPE sur les déroulements de carrière, les grilles indiciaires ainsi que l’évaluation.  Les votes au CTM:

Contre : FO, CGT, SNALC
Pour : CFDT, FSU, UNSA

Le contenu des décrets comme les débats ont confirmé nos raisons de nous opposer à ces projets.
L’évaluation est présentée par l’administration comme « bienveillante » et « formative ».En fait elle jouera un rôle déterminant pour l’attribution des bonifications d’ancienneté, l’accès à la hors-classe et à la classe exceptionnelle.

Quand on connaît les pressions d’ores et déjà subies par nos collègues à l’occasion de la mise en œuvre des réformes, notamment avec celle du collège ou des rythmes scolaires dans le premier degré, on ne peut qu’être dubitatifs sur le caractère bienveillant de la mise en place de la grille de compétences, très éloignée sur l’essentiel du cœur de métier : enseigner dans sa classe.

Le projet de grille de compte-rendu comprend 11 items qui eux-mêmes s’appuient sur les dizaines d’entrées du « référentiel de compétences professionnelles des métiers du professorat et de l’éducation » (arrêté du 1/07/2013). C’est la mise en place d’une gestion managériale sur le modèle du privé axée sur les savoirs, savoir-faire et savoir-être.

Force Ouvrière a proposé un vœu demandant la saisine du CHSCT ministériel afin de mener une étude approfondie préalable des conséquences du projet d’évaluation sur la santé des personnels. Soucieux d’apporter le maximum de garanties et de protection aux personnels, nous regrettons que seules la CGT et la FGAF l’aient appuyé. Les autres fédérations ont estimé que le projet d’évaluation ne changeait rien aux conditions de travail des personnels tout en affirmant qu’elles seront vigilantes après la mise en place du nouveau système. Pour Force Ouvrière il vaut mieux prévenir que guérir !

La classe exceptionnelle est bien un grade fonctionnel : nous attirons l’attention des personnels sur le fait que celle-ci sera pour l’essentiel au titre de « fonctions accomplies dans des conditions difficiles ou sur des fonctions particulières » dont la « liste est fixée par arrêté du ministre », ce qui ouvre la voie à la mise en place d’une hiérarchie intermédiaire au sein des corps enseignants.

Interrogé par Force Ouvrière sur l’absence de traduction en termes de garanties statutaires de l’affirmation selon laquelle « les personnels enseignants pourront dérouler une carrière complète jusqu’au sommet de la hors-classe », le ministère a confirmé qu’il n’y aurait rien de tel dans les statuts. La « garantie » découlerait du nombre des promotions décidées chaque année (en fonction du rapport promus/promouvables) et du barème qui sera retenu ! Le ministère a indiqué que nous n’aurons les chiffres qu’au printemps pour l’année en cours. Il a reconnu la diminution de l’effectif de la plage d’appel mais n’a pris aucun engagement chiffré, alors qu’il faudra au moins doubler le ratio (14% ou plus) pour maintenir le nombre de promotions en 2018 !
Qui pourrait y voir des « garanties » ? Il y a au contraire tout à craindre sur le volume des promotions et les critères qui seront retenus à l’avenir.

Des amendements proposés par certaines fédérations (rejetés par l’administration) soulignent la contradiction avec leur vote pour. Demander que les collègues puissent être accompagnés par un délégué syndical lors des entretiens d’évaluation, la suppression de la référence aux fonctions dans l’accès à la classe exceptionnelle ou la mise en place d’une clause de sauvegarde pour l’accès à la hors-classe ne fait que souligner les problèmes majeurs posés par le projet de refonte statutaire !

La FNEC FP-FO alerte les personnels.
La « revalorisation » indiciaire des salaires est indigente !
Mais le cadre fixé par les projets de statut est une véritable régression. Tout comme la loi Travail avec l’inversion de la hiérarchie des normes, il ouvre une porte par laquelle la ministre actuelle ou future par simple arrêté pourra aller toujours plus loin dans l’individualisation des carrières et l’autonomie des établissements.

Il faut tout mettre en œuvre, par l’action commune à tous les niveaux pour obtenir l’abandon du projet d’évaluation !

Le SNUDI-FO18 invite les collègues à signer massivement la pétition pour l’abandon de la réforme de l’évaluation des enseignants !

Vous trouverez ci-dessous la pétition que vous pouvez imprimer, diffuser, faire signer dans votre école et nous renvoyer par mail ou voie postale.

PETITION Évaluation

Vous pouvez également signer la pétition en ligne :

SIGNEZ LA PETITION EN LIGNE POUR L'ABANDON DE LA REFORME DE L'EVALUATION DES ENSEIGNANTS

 

Projet de grille d'évaluation ci-dessous

PPCR_referentiel_de_competences_3_1

PPCR_grille_evaluation_1_

statuts30001

 

 

30 novembre 2016

Projet d’évaluations des enseignants

A l’instar des élèves, les enseignants seraient évalués selon une grille de compétences.

4 pages PPCR/EVALUATION

Les organisations syndicales FO, CGT et SUD ont décidé de s’adresser aux personnels sur les dangers contenus par le projet de réforme d’évaluation des enseignants. Vous trouverez ci-dessous leur communiqué.

Evaluation_lettre_commune

La FNEC-FP-FO invite les collègues à signer massivement la pétition nationale pour l’abandon de la réforme de l’évaluation des enseignants !

Vous trouverez ci-dessous la pétition que vous pouvez imprimer, diffuser et faire signer dans votre école.

PETITION Évaluation

Vous pouvez également signer la pétition en ligne :

SIGNEZ LA PETITION EN LIGNE POUR L'ABANDON DE LA REFORME DE L'EVALUATION DES ENSEIGNANTS

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20 novembre 2016

Projet d'évaluation des enseignants : alerte ! Une seule exigence : le retrait !

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Le PPCR prévoit la suppression de la note pédagogique mais pas la fin des visites d’inspection qui prennent de nouvelles formes. Quatre rendez-vous tout au long de la carrière, mais également un « accompagnement des enseignants ». 

 

Le rendez-vous de carrière est un dispositif plus contraignant que les inspections actuelles et ses conséquences impactent directement la carrière des enseignants et remettent en cause leur statut de fonctionnaire d'Etat :

  1. La rédaction d’un bilan professionnel par l’enseignant avant la visite d’inspection en classe, elle-même suivie d’un entretien qui porte entre-autres sur le bilan professionnel ;
  2. La communication à l’enseignant par l’inspecteur d’une grille d’évaluation basée sur des compétences à quatre niveaux pour chacune d’entre-elles (à consolider, satisfaisant, très satisfaisant, excellent) et une appréciation finale construite sur le même principe. Les compétences jugées ne feront que reprendre celles demander dans le référentiel des professeurs stagiaires !!! Deux  items remettent en cause notre statut et nos droits de fonctionnaire d'Etat:

- L'item 7 "Coopérer avec les partenaires de l’école" inclut les collectivités territoriales mais aussi les associations diverses impliquées notamment dans les activités péri scolaires et les entreprises.

- L’item 8 "coopérer avec les parents d’élèves" constitue une négation du droit des enseignants à être protègés par leur hiérarchie dans le cadre de l’article 11 du statut général de la Fonction Publique. 

      3. L' appréciation finale détermine pour les deux premiers rendez-vous le passage accéléré d’un an au 7ème et 9ème échelon, le passage à la hors-classe lors du troisième rendez-vous et, pour un public déterminé, la promotion à la classe exceptionnelle lors du quatrième rendez-vous. L’enseignant peut saisir la CAP pour demander la révision de son appréciation... C’est sa parole contre celle de la hiérarchie, et il n’y a plus aucune grille de référence !

Entre chaque rendez-vous de carrière, un accompagnement individuel ou collectif peut-être décidé:

Collectif, il peut concerner « l’équipe pédagogique d’une école […] , un bassin de formation, une équipe d’enseignant inter-degré ». Il peut porter sur :

  • La conception et la mise en œuvre de projets ou de dispositifs pédagogiques ;
  • L’évolution des pratiques pédagogiques, l’explicitation des orientations nationales, une aide à la mise ne place des programmes, à l’évaluation des élèves…

Individuel, il peut être initié à tout moment de la carrière par les personnels d’inspection et de direction. Il a pour objectifs :

  • De consolider et développer les compétences professionnelles ;
  • De remédier aux difficultés rencontrées par certains personnels ;
  • De favoriser la mobilité professionnelle.

Concrètement, les enseignants vont subir des pressions encore plus grandes lors de ces rendez-vous de carrière par rapport aux inspections actuelles puisqu’ils détermineront directement une éventuelle accélération de leur carrière.

    Le projet d’évaluation ministériel, c’est l’arbitraire, l’individualisation des carrières, la concurrence entre les personnels au nom du « mérite » et une nouvelle aggravation de notre charge de travail au détriment de ce qui constitue notre mission fondamentale : enseigner dans notre classe sur la base de programmes nationaux.
La grille d’évaluation par compétences, le bilan professionnel, nous n’en voulons pas.
Nous n’en voulons pas plus que de la réforme des rythmes scolaires.
Ce que nous voulons, c’est une véritable augmentation de nos salaires, une carrière complète pour tous, le maintien d’un barème chiffré.
Nous exigeons le retrait du projet d’évaluation et l’ouverture de discussions sur d’autres bases.

Notre dossier complet : 4_pages_Evaluation-PPCR

 

 

4 novembre 2016

Transposition du PPCR aux personnels enseignants, d’éducation et d’orientation : toujours aussi inacceptable !

Retrait du projet d'évaluation !
Le vote contre s'impose !

Le ministère a transmis ses textes définitifs sur la transposition du protocole PPCR (parcours professionnels, carrières, rémunérations) aux personnels enseignants, d’éducation et d’orientation. Les modifications par rapport au projet sont homéopathiques : rien n'est changé sur les grilles indiciaires, les rythmes d'avancement et la classe exceptionnelle. Les modifications sur la grille d'évaluation ne changent rien au fond.
A six mois de la fin de son mandat, le gouvernement se presse de mettre en oeuvre ce que le précédent avait voulu faire sans le pouvoir : remise en place de l'évaluation des personnels par compétences et entretien professionnel (le décret Chatel avait dû être abrogé par M. Peillon grâce à l’action commune des syndicats) et création d'un grade fonctionnel (GRAF) tout en annonçant une revalorisation qui n'est qu'un trompe-l’oeil.

4 PAGES PPCR EVALUATION : ICI

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8 juin 2016

PPCR : Apparence, communication et réalité

Annonces de la ministre sur la «revalorisation» des carrières :

Apparence, communication et réalité

    La ministre de l’Éducation nationale a reçu toutes les organisations syndicales le 1er juin et leur a répété ce qu’elle avait dit la veille dans la presse. La délégation FO était représentée par Hubert Raguin (FNEC-FP-FO) et Philippe Soubirous (FGF-FO). Elle a condamné la manière dont cette concertation a été préparée avec les seuls signataires du protocole PPCR, que FO, CGT et Solidaires n’ont pas signé. FO a rappelé que les annonces ministérielles (nouvelle grille et réforme de l’évaluation) sont loin de répondre à nos revendications :8% d’augmentation de la valeur du point d’indice et 50 points supplémentaires pour tous maintenant.

    La ministre présente son projet comme un nouvel outil de gestion des ressources humaines. Sa proposition inclut la suppression du système actuel de notation des enseignants pour lui substituer un système d’évaluation. Que deviennent les notes ? Les barèmes ? La ministre répond : le système actuel est aléatoire, trop administratif.

    Pour FO, c’est clair, nous refusons l’introduction de l’arbitraire généralisé dans l’évolution et la gestion des carrières des enseignants. Nous refusons le retour des entretiens professionnels du décret Chatel, dont les personnels ont obtenu l’abrogation par la grève en 2012. 

    D’ores et déjà il est clair que le dispositif annoncé relève d’une entreprise de mystification. Mystification sur les déroulements de carrière et les rémunérations. Mystification qui cache la volonté d’imposer l’individualisation, la généralisation de l’arbitraire comme moyen de contraindre tous les enseignants à rentrer dans le moule de la Refondation.

    Avec ces annonces, il s’agit pour la ministre de passer au dernier volet de la Refondation : casser les garanties statutaires nationales pour tout individualiser. C’est la même logique que la loi Travail.

- Augmentation immédiate du point d’indice et 50 points pour tous

- Non à l’individualisation des traitements et des carrières :

défense de nos statuts et de nos missions

Communiqué_PPCR en pdf

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