Mouvement 2021
CALENDRIER
Les documents de l'Administration
Annexe_1_Le_mouvement_intra_départemental_en_bref
Annexe_2_Liste_des_zones_géographiques
Annexe_3_Carte_des_zones_géographiques
Annexe_4_Carte_des_circonscriptions
Annexe_5_Liste_des_zones_infra_d_partementales_compress_
Annexe_6_Carte_des_zones_infra_départementales
Annexe_7_Définition_des_sigles
Annexe_8_Liste_des_postes_fractionnés_définitifs_RS_2021
Annexe_9_Liste_des_postes___recrutement_particulier_RS_2021_compress_
Annexe_10_Liste_des_postes_à_pourvoir_RS_2021_maj_02042021
Annexe_11_Imprimé__de_demande_de_bonification_au_titre_du_handicap_RS_2021
Annexe_12_Pièces_justificatives
Annexe_14_Arrêté__calendrier_scolaire_2020_2021
Les annonces du ministre ne vont faire qu’aggraver le chaos. Comment comprendre ?
La situation est chaotique dans les écoles, les établissements et les services. Les remplaçants manquent partout, les enseignants sont contraints d’accueillir toujours plus d’élèves dans leur classe.
Le ministre Blanquer vient de faire des annonces le 26 mars. Selon ses propres chiffres, tous les départements ne sont pas confrontés au virus dans les mêmes proportions. Par contre, tous sont confrontés au même refus du ministre de répondre aux revendications, en matière de postes et de mesures de protection. C’est ce refus qui génère une situation catastrophique dans les zones les plus touchées.
Le ministre a-t-il décidé de mettre fin à ce chaos ? De protéger enfin les élèves et les personnels ?
➢ « A partir de la semaine prochaine dans les 19 départements les plus touchés, on fermera chaque classe dès le 1er cas de contamination. »
Cette mesure va aboutir à la fermeture centaines d’écoles et d’établissements dans les prochains jours. Les élèves de ces classes devront se reconfiner pendant deux à trois semaines. Pourquoi ne pas tester tout le monde et isoler seulement les cas positifs ? Pourquoi ne pas faire suivre les personnels en contact avec le virus par la médecine de prévention ?
Et si les parents d’élèves sont dans l’impossibilité de garder leur enfant chez eux ? Ce sont encore les personnels de direction et les directeurs d’écoles qui seront chargés de se débrouiller localement.
Fermer les classes serait une solution ? Aucun enseignant, aucun parent n’acceptera cette solution de gaieté de coeur, ils sont conscients des conséquences. Est-ce une « solution » que de pousser les personnels à choisir entre la peste et le choléra, parce que le gouvernement refuse les revendications ? C’est exactement la même situation que dans les hôpitaux où le gouvernement continue de fermer des lits et refuse d’en ouvrir pour faire face à l’épidémie.
La suite ci-dessous:
210328___communique_fnec_fp_fo_
Pour l’abandon des postes à profil !
Le SNUDI-FO défend le principe des mutations au barème et s’est toujours opposé aux postes à profil qui remettent en cause l’égalité de traitement des personnels et ouvrent la voie à la cooptation, au « copinage ».
Manque de remplaçants : pas d’autres solutions que le recrutement massif et immédiat sur la liste complémentaire !
Grève du 8 avril : AESH, enseignants… Tous ensemble pour que les AESH obtiennent enfin un vrai statut et un vrai salaire ! Tous
Compte rendu du CTMEN du 9 février 2021
En marge des points à l’ordre du jour, le représentant de la DEGESCO a répondu à certaines interrogations :
- Concernant les moyens exceptionnels « COVID » arrivant à leur terme à ces vacances de février en personnels supplémentaires AED 2nd degré et contractuels 1er degré, il a entendu la demande unanime de prolongation de ceux-ci jusqu’à la fin de l’année scolaire, mais ne peut donner une réponse à ce jour. Il confirme que la DEGESCO essaie de consolider les besoins de remplacement.
- Sur la transformation massive d’heures postes en HSA, il précise qu’il a été tenu compte des situations de chaque académie, mais ne peut exclure que des tensions peuvent apparaître dans certains
- Sur la carte scolaire du 1er degré et les propos de la secrétaire d’État Mme Elimas : il rappelle l’engagement présidentiel « pas de fermetures d’écoles sans avis du maire en milieu rural ». L’avis des municipalités était recueilli de façon exceptionnelle pour la rentrée Ça n’est plus le cas pour la rentrée 2021, la tendance démographique dans le 1er degré étant à la baisse. Par ailleurs, la secrétaire d’État aurait depuis corrigé ses propos.
I. Décret et arrêté CAFIPEMF
La FNEC FP-FO s’est abstenue sur ces projets de décret et d’arrêté.
Vous avez pour objectif de faciliter l’accès au diplôme et aux fonctions de maître formateurs et de CPC.
Nous prenons acte de la mise en œuvre d’une formation sur un an, de la suppression du mémoire. Nous demandons le maintien de la possibilité d’une spécialisation dès la formation initiale.
Deux questions pour les candidats qui sont admissibles cette année :
- est-ce que le mémoire est annulé aussi ? : Réponse DGRH :Non, les conditions sont celles de 2015.
- Qu’en est-il pour les candidats admissibles en 2021 avec une option ? Gardent-ils le bénéfice de leur spécialisation nouvellement obtenue ? Réponse : Oui.
Par ailleurs, pour favoriser l’attractivité de la fonction, il faudrait répondre aux revendications des maîtres formateurs :
1. Indemnité
Les personnels enseignants du premier degré nommés aux fonctions de maître formateur et exerçant les fonctions correspondantes perçoivent une indemnité de 1250 euros par an. Cette indemnité est trop faible, elle doit être augmentée.
2. Décharge
Respect de la circulaire du 18 octobre 2016 qui indique : « ils bénéficient à compter de la rentrée scolaire 2016 d’un allègement d’un tiers de leur service hebdomadaire d’enseignement défini à l’article 1er du décret du 30 juillet 2008 précité. » Dans les faits ils n’ont bien souvent qu’un quart de décharge.
3. ISAE
Versement de la totalité de l’ISAE aux maîtres formateurs !
Lorsqu’ils sont en décharge pour former d’autres collègues, les maîtres formateurs ne touchent pas l’ISAE. Dans les faits, ils ne touchent donc que 75% de leur ISAE.
Vote sur le décret CAFIPEMPF
Pour : SNALC
Contre : FSU, UNSA, CGT
Abstention : FO et CFDT
Vote sur l’arrêté CAFIPEMF :
Pour : SNALC
Contre : FSU et CGT
Abstention : UNSA, FO et CFDT
Lire la suite sur le document PDF joint
En marge des points à l’ordre du jour, le représentant de la DEGESCO a répondu à certaines interrogations :
- Concernant les moyens exceptionnels « COVID » arrivant à leur terme à ces vacances de février en personnels supplémentaires AED 2nd degré et contractuels 1er degré, il a entendu la demande unanime de prolongation de ceux-ci jusqu’à la fin de l’année scolaire, mais ne peut donner une réponse à ce jour. Il confirme que la DEGESCO essaie de consolider les besoins de remplacement.
- Sur la transformation massive d’heures postes en HSA, il précise qu’il a été tenu compte des situations de chaque académie, mais ne peut exclure que des tensions peuvent apparaître dans certains
- Sur la carte scolaire du 1er degré et les propos de la secrétaire d’État Mme Elimas : il rappelle l’engagement présidentiel « pas de fermetures d’écoles sans avis du maire en milieu rural ». L’avis des municipalités était recueilli de façon exceptionnelle pour la rentrée Ça n’est plus le cas pour la rentrée 2021, la tendance démographique dans le 1er degré étant à la baisse. Par ailleurs, la secrétaire d’État aurait depuis corrigé ses propos.
I. Décret et arrêté CAFIPEMF
La FNEC FP-FO s’est abstenue sur ces projets de décret et d’arrêté.
Vous avez pour objectif de faciliter l’accès au diplôme et aux fonctions de maître formateurs et de CPC.
Nous prenons acte de la mise en œuvre d’une formation sur un an, de la suppression du mémoire. Nous demandons le maintien de la possibilité d’une spécialisation dès la formation initiale.
Deux questions pour les candidats qui sont admissibles cette année :
- est-ce que le mémoire est annulé aussi ? : Réponse DGRH :Non, les conditions sont celles de 2015.
- Qu’en est-il pour les candidats admissibles en 2021 avec une option ? Gardent-ils le bénéfice de leur spécialisation nouvellement obtenue ? Réponse : Oui.
Par ailleurs, pour favoriser l’attractivité de la fonction, il faudrait répondre aux revendications des maîtres formateurs :
1. Indemnité
Les personnels enseignants du premier degré nommés aux fonctions de maître formateur et exerçant les fonctions correspondantes perçoivent une indemnité de 1250 euros par an. Cette indemnité est trop faible, elle doit être augmentée.
2. Décharge
Respect de la circulaire du 18 octobre 2016 qui indique : « ils bénéficient à compter de la rentrée scolaire 2016 d’un allègement d’un tiers de leur service hebdomadaire d’enseignement défini à l’article 1er du décret du 30 juillet 2008 précité. » Dans les faits ils n’ont bien souvent qu’un quart de décharge.
3. ISAE
Versement de la totalité de l’ISAE aux maîtres formateurs !
Lorsqu’ils sont en décharge pour former d’autres collègues, les maîtres formateurs ne touchent pas l’ISAE. Dans les faits, ils ne touchent donc que 75% de leur ISAE.
Vote sur le décret CAFIPEMPF
Pour : SNALC
Contre : FSU, UNSA, CGT
Abstention : FO et CFDT
Vote sur l’arrêté CAFIPEMF :
Pour : SNALC
Contre : FSU et CGT
Abstention : UNSA, FO et CFDT
Le ministre confirme ses intentions de créer un statut de directeur supérieur hiérarchique !"
Avec la synthèse du Grenelle, le ministre confirme ses intentions de créer un statut de directeur supérieur hiérarchique !
Traitement et indemnités
Tableaux des traitements, indemnités et prestations familiales Novembre 2020 :
Masques de Type 1 fournis par l’Administration : Analyse
Les représentants FO au CHSCT académique ont examiné les masques fournis par l’Administration et se sont informés sur leurs particularités.
Nul ne peut aujourd’hui sérieusement affirmer que ces masques de type 1 protègent face au virus.
A noter que la seule lecture de l’étiquette indique que ces masques ne représentent «ni un dispositif médical, ni un équipement de protection personnelle».
Défaut n°1 : Les masques DIM, attribués à de nombreux personnels, mesure 1 cm de moins sur leur longueur et leur largeur par rapport aux masques chirurgicaux. Ils sont donc moins couvrants.
Défaut n°2 : Leur épaisseur impose un effort pour respirer qui devient rapidement pénible surtout si l'on parle aux élèves… ce qui arrive très fréquemment lorsqu’on enseigne!
Défaut n°3 : Les bretelles de ces masques ont une très faible élasticité donc ceux qui ont un petit visage ont le masque qui descend et ceux qui ont un visage assez gros supportent un bâillon.
Norme et homologation : ces masques "grand public", de type 1, ne font l’objet d’aucune norme ni d’aucune certification ou homologation, mais d'une simple spécification de l’AFNOR créée en urgence le 25 mars 2020 à cause de la pénurie des masques FFP2 et chirurgicaux… !
Que dit la Spécification AFNOR SPEC S76-001 des « masques grand public » (extraits du texte officiel) : "Ce dispositif n’est ni un dispositif médical au sens du Règlement UE/2017/745, ni un équipement de protection individuelle au sens du Règlement UE/2016/425.[ce qui est mentionné sur les paquets de masques].
Le présent document n’a pas été soumis à la procédure d’homologation et ne peut être en aucun cas assimilé à une norme française. Sauf disposition réglementaire contraire, son utilisation est totalement volontaire et il est publié dans la collection des documents de la normalisation sous le statut d’AFNOR‐ SPEC."
La seule étude randomisée comparant l’efficacité des masques tissus à celle des masques chirurgicaux, a été publiée dans le British Medical Journal 1 en 2015. Elle concluait que « la pénétration des masques en tissu par des particules était de près de 97 % et [pour] les masques médicaux de 44 % ». « La rétention d’humidité, la réutilisation des masques en tissu et une mauvaise filtration peuvent entraîner un risque accru d’infection » signalait la revue.
Pour leur part, la Société française des sciences de la stérilisation (SF2F) et la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H) ont publié une recommandation qui indique: « Il n’existe pas de preuve scientifique de l’efficacité des masques en tissu », «Il n’est pas possible, selon les connaissances actuelles, de déterminer l'efficacité du lavage (type de détergent, température de lavage, etc.) et le maintien des performances de masques en tissu réutilisés (nombre maximal de cycles), ce qui implique de ne pas les réutiliser».
Traitement du masque : Comme indiqué sur l’étiquette, ces masques sont traités à la zéolite d'argent et de cuivre.
La zéolite d’argent et de cuivre n’est pas approuvée en tant que substance active existante destinée à être utilisée dans les produits biocides des types de produits 2 et 7 (décision de l’Union Européenne en date du 27.11.2019
https://aida.ineris.fr/consultation_document/42758 )
Le Type de produit 2 est celui des Désinfectants et produits algicides non destinés à l'application directe sur des êtres humains ou des animaux, utilisés pour être incorporés dans les textiles, les tissus, les masques, les peintures et d'autres articles ou matériaux, afin de produire des articles traités possédant des propriétés désinfectantes
(https://echa.europa.eu/fr/regulations/biocidal-products-regulation/product-types)
Les collègues ne sont pas protégés et c’est inacceptable !
Signez la pétition: https://www.facebook.com/snudifo.cher/posts/2790618481221095