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SNUDI-FO 18

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3 octobre 2017

TOUS en grève le 10 octobre.

logosnudi-fo18 (2)Rassemblement ou manifestation prévus :

  • Bourges : 10 h 30 Place Séraucourt
  • Vierzon : 10 h 30 Forum République
  • St-Amand : 10 h 30 Place de la République
  • St-Florent : 10 h 30 Place de la République
  • La Guerche : 10 h 30 Place du Général de Gaulle
  • Non au blocage du point d’indice, non au salaire au mérite
  • Non à PPCR: non à la remise en cause des droits collectifs
  • Non à la précarité dans la fonction publique Non au licenciement de 150 000 contrats aidés
  • Oui au recours à la Liste Complémentaire
  • Non à la Territorialisation et à la casse des statuts

Communiqué "Appel à la grève du SNUDI-FO" en cliquant ici

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28 septembre 2017

Tous en grève le 10 octobre

Traitements des fonctionnaires : toujours moins !

Tous en grève le 10 octobre

Point d’indice : blocage annoncé en 2018

Comme s’il n’y avait pas d’inflation (près de 1% en août 2017 sur un an) !

D’ores et déjà nous avons perdu plus de 8% depuis 2010, plus de 16% depuis 2000.

L’augmentation a minima de la valeur du point en 2017 (1,2% en deux fois accordés sous la pression, au moment de la mobilisation contre la loi El Khomri) ne fait décidément pas le compte.

Et en plus, le gouvernement prévoit de «déconnecter» le point d’indice entre les 3 fonctions publiques (État, territoriale, hospitalière) : il n’y aurait plus de référence commune, plus de grille indiciaire commune ! Or l’unité de la Fonction publique repose sur l’existence d’une grille indiciaire unique. C’est la clé de voûte du statut qui est aussi visée. Et M. Macron l’a déclaré, il veut aussi instaurer le salaire au mérite. C’est l’individualisation contre les garanties collectives.

Retenue pour pension : encore une augmentation le 1er janvier 2018

La retenue pour pension depuis 2010 est passée de 7,85% à 10,29% du salaire brut. Elle doit passer à 10,56%. Résultat : le salaire net, ce qui reste pour payer son loyer, se nourrir, etc. est diminué d’autant.

Les gouvernements successifs ont prétendu que c’était une mesure de justice par rapport au secteur privé : en réalité c’est une mesure d’austérité budgétaire pour diminuer les traitements, et à terme de casser le régime des pensions civiles en le sortant du «Grand Livre de la Dette» de l’État à l’égard de ses fonctionnaires. Mais n’est-ce pas ce que veut faire M. Macron avec la réforme annoncée des retraites ?

Et le non-protocole PPCR ? Mesures indiciaires retardées, avant suppression ?

Le gouvernement précédent avait annoncé une revalorisation plus que limitée des grilles indiciaires, étalée sur 5 ans, sans prendre aucun engagement sur l’augmentation de la valeur du point d’indice.

Le ministère vient d’annoncer que ces mesures pour 2018 seraient retardées de 6 à 18 mois ! Avions-nous tort de dire que le dispositif n’offrait aucune garantie ?

En revanche les rendez-vous de carrière, la nouvelle évaluation, eux sont maintenus.

Augmentation de la CSG de 1,7 point : pour les fonctionnaires, encore une baisse du salaire net ?

La CSG passera de 7,5% à 9,2%. Le gouvernement prévoit de supprimer la cotisation CRDS de 1% et un dispositif complexe pour les 0,7% restant (indemnité compensatoire non pérenne et non applicable aux fonctionnaires recrutés après le 1er janvier 2018 !). Force Ouvrière demande des points d’indice pour compenser.

Pour les retraités, c’est une perte sèche et en plus le gouvernement a aussi annoncé que les retraites seraient gelées en 2018.

Nous ne sommes pas dupes : derrière la fiscalisation des cotisations sociales, c’est la Sécurité sociale elle-même qui est visée, l’impôt pouvant être détourné du remboursement des soins.

Ordonnances : déréglementation dans le privé, menace sur le statut de la Fonction publique

La priorité à l’accord d’entreprise, le recours au CDD élargi, le contournement des syndicats, notamment avec le referendum à l’initiative de l’employeur, la fusion des instances de représentation du personnel... les ordonnances sont un recul social majeur. C’est l’aggravation de la loi El Khomri. Le gouvernement ne manquera pas de vouloir les transposer dans la Fonction publique !

Pour la défense du statut général et des statuts particuliers

Pour l’abandon des ordonnances Macron

Pour 16% d’augmentation du point d’indice

28 septembre 2017

Modification du calendrier scolaire : seulement une question de "bon sens" ?

  Nous avons été récemment destinataires d'un courrier de la Rectrice modifiant les dates de congés de printemps ce qui a mis en colère certains de nos collègues ayant pu déjà procéder à des réservations de logement ou de voyage.

 

L’article D 521-5 établit que "sauf dans les cas où elles sont motivées par des circonstances non prévisibles, les décisions résultant de l'application des articles D. 521-1 à D. 521-4 sont arrêtées et rendues publiques un an au moins avant la date d'effet prévue quand elles concernent l'ensemble d'un département ou de l'académie". Le rectorat d’Orléans-Tours justifie sa décision par 2 dates de jours fériés suivant immédiatement la période de congés (dont le 8 mai). Il ne s’agit pas là de circonstances non-prévisibles, d’ailleurs notre fédération avait attiré l’attention de la ministre, à ce sujet lors de la présentation au CSE de ce calendrier, soit voici plus de 2 ans.

 

Nous constatons d’une part que rien ne justifie une décision hâtive qui aurait pu être prise lors de l’arrêt par la ministre du calendrier scolaire 2017-2018, et que d’autre part le délai réglementaire d’un an n’est pas respecté.  Notre Fédération, la FNEC-FP-FO s'est adressé au ministre (courrier ci dessous).

 

Mais cet arrêté "académique" (en fait régional puisque le Conseil régional a été sollicité pour avis) et repris officiellement sur le site du ministère crée un précédent  : Revoir le calendrier scolaire en confiant la définition aux recteurs de région académique.  Chacun comprendra ce qui se cache derrière la question de "bon sens" du calendrier scolaire 2017-2018.

21 septembre 2017

Rythmes scolaires

2016120917233936718

A cette rentrée, 36,8 % des communes ont rétabli la semaine de 4 jours sur 36 semaines…

Pour le SNUDI-FO, ce qui est plus que jamais à l’ordre du jour :
- Rétablissement de la semaine à 4 jours sur tout le territoire national avec 24 heures d’enseignement par semaine, dans toutes les écoles, dans toutes les communes, sur 36 semaines ;
- Maintien de la définition nationale des dates de congés et vacances scolaires sans possibilité de dérogation.

La campagne rencontre une adhésion massive  !

Signez la pétition, prenez postion ici : PRISE DE POSITION EN LIGNE

ou sur papier (page 4 du document ci-dessous) :

4 Pages du SNUDI-FO National_Rythmes scolaires_Sept.2017

 

13 septembre 2017

Reclassement

La réforme de l’évaluation et la mise en place des accords PPCR que FO n’a pas signés, aboutissent au 1er septembre à la mise en place d’un rythme unique et donc à la fin de la possibilité d’avancer au grand choix.

Concernant la hors-classe, le 7ème échelon disparaît : l’ancien 4ème échelon devient le 3ème, l’ancien 5ème échelon devient le 4ème, ainsi de suite jusqu’à l’ancien 7ème échelon qui devient le 6ème. En fonction de ce nouveau rythme, les collègues vont être reclassés au 1er septembre, dans leur échelon actuel (en conservant l’ancienneté acquise dans l’échelon) ou à l’échelon supérieur (en perdant l’ancienneté dans l’échelon). Vous trouverez tous les détails dans le tableau ci-dessous:

 

Pour toute question, contactez le SNUDI-FO !

 Par ailleurs, les inspections notées sont supprimées, remplacées par des « rendez-vous de carrière » pour les collègues au 6ème échelon, au 8ème échelon et au 9ème échelon avec deux ans d’ancienneté. Avec sa fédération, le SNUDI-FO demande toujours l’abandon de cette réforme qui individualise les relations entre les enseignants et leur IEN, en soumettant les collègues à l’arbitraire le plus total.

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7 septembre 2017

Rendez-vous de carrière

logosnudi-fo18 (2)Si vous avez reçu le courrier ci-dessous dès le début des congés, n’en soyez pas surpris !
Seule la FNEC FP-FO a demandé le retrait du dispositif d’évaluation.

Madame, Monsieur,

Vous êtes éligible à un rendez-vous de carrière dans le cadre de la campagne 2017/2018 sous réserve que vous remplissiez de manière effective les conditions au 31/08/2018.
Pour vous permettre de vous y préparer, vous trouverez en suivant le lien SIAE une notice ainsi qu’un guide.

 Au 1er septembre, les enseignants seront reclassés selon des modalités que vous trouverez dans un article précédent. L’avancement au grand choix est supprimé. Les inspections sont remplacées par trois "rendez-vous de carrière".

A quel moment sont placés ces rendez-vous de carrière ? Serez-vous évalués cette année ?

- Le premier "rendez-vous de carrière" a lieu entre le 12ème et le 24ème mois du 6ème échelon. Suite à ces évaluations, 30% de collègues pourront accéder un an plus vite au 7ème échelon.

- Le deuxième "rendez-vous de carrière" a lieu entre le 18ème et le 30ème mois du 8ème échelon. Suite à ces évaluations, 30% de collègues pourront accéder un an plus vite au 9ème échelon.

- Le troisième "rendez-vous de carrière" a lieu entre le 12ème et le 24ème mois du 9ème échelon. Cette évaluation sera prise en compte pour le passage à la hors-classe.

Comment vont se dérouler ces "rendez-vous de carrière" ?

Ces rendez-vous de carrière consistent en une visite en classe de l’inspecteur puis d’un entretien. Les enseignants ne seront plus notés mais évalués en fonction de la grille de compétences que vous trouverez ci-dessous :

Compte-Rendu_Evaluation_Enseignant

Le SNUDI-FO s’est prononcé contre cette réforme qui :

  •  va ralentir la carrière de nombreux collègues en supprimant notamment le grand choix
  •  instaure l’évaluation sans note, et les promotions à la tête du client, dans un rapport individualisé avec l’inspecteur, sans contrôle des syndicats 
  • évalue les collègues sur nombre d’items qui n’ont rien à voir avec l’enseignement ("Contribuer à l’action de la communauté éducative et coopérer avec les parents d’élèves et les partenaires de l’école/l’établissement")

Le SNUDI-FO réaffirme son exigence d’abrogation du décret instaurant la réforme de l’évaluation.

6 septembre 2017

20 000 SUPPRESSIONS DE "CUI - CONTRATS AIDES"

jpg_jpg_Logo_FNEC_FP-2-1798c20 000 SUPPRESSIONS DE  "CUI - CONTRATS AIDES" DANS L'EDUCATION NATIONALE !

80 contrats aidés supprimés dans le Cher dans le 1er degré d'ici décembre 2 017 (EVS)

En effet ce dossier est très significatif de la politique du gouvernement qui en "100 jours" a multiplié les attaques contre les droits des salariés, du privé (Code du travail, ...) comme du public (suppression de postes, jour de carence, blocage du point d'indice, ...).

  On ne peut craindre que le pire :

  - déjà la situation était inacceptable pour les directeurs d'école privés d'aide administrative; qu'en sera-t-il en cette rentrée ? 

Cela montre la "valeur" des engagements ministériels sur la diminution de la charge de travail des directeurs ainsi que la "valeur" du "protocole académique de direction" que seul FO avait refusé de voter l'an passé en Comité Technique Académique (CTA).  

 - déjà la situation était catastrophique pour les personnels administratifs qui ont subi plus de 10 000 suppressions d'emplois statutaires en une quinzaine d'années et qui pourraient maintenant voir les CUI- Contrats aidés disparaître, avec un alourdissement encore un peu plus grand de leur charge de travail avec les conséquences que l'on peut imaginer pour l'ensemble des personnels enseignants ? 

  Nous ne laisserons pas faire !

 Si votre école est touchée par cette inacceptable mesure, contactez le SNUDI-FO18 dans les plus brefs délais : il y a URGENCE !

31 août 2017

Rythmes scolaires

Le bureau du SNUDI-FO18 vous souhaite une bonne rentrée scolaire.

 Si le décret  Blanquer, paru le 28 juin, a ouvert la possibilité, pour les communes qui le souhaitaient de revenir à 4 jours de 6h, il confirme les municipalités comme maîtres d'œuvre de l'organisation de la semaine scolaire dépendant de chaque Pedt et des contingences locales (regroupement de communes, transport scolaire...)

A l'opposé, de nombreux collègues, s'appuyant sur nos revendications, ont pris position en exigeant une norme nationale de 4 jours pour tous sur 36 semaines.

Il s'agit de garantir le respect de notre statut d'enseignants fonctionnaires d'Etat et des droits qui y sont liés qui ne peuvent fluctuer en fonction des majorités locales. Il s'agit également de garantir l'égalité des droits sur tout le territoire pour les élèves.

 

Le SNUDI-FO revendique une norme unique de 4 jours sur 36 semaines, le maintien des dates de congés sans possibilité de modification et l'abandon des Pedt.

 Le SNUDI-FO18 soutiendra toutes les initiatives de collègues permettant aux PE de faire valoir ces revendications auprès du Dasen, des IENs mais aussi auprès des municipalités.

CONTACTEZ-NOUS !

 La réponse du Maire de Bourges suite à notre courrier

 

 Le SNUDI-FO 18 avait adressé un courrier au Maire de Bourges pour lui rappeler que le projet de décret prévoit une demande conjointe des mairies et des conseils d’école et que les enseignants étant membres de droit des conseils d’école, il est essentiel que les courriers concernant les rythmes scolaires leur soient adressés et pas seulement aux parents et aux directeurs et directrices.

Suite notre courrier, le Maire de Bourges nous a répondu, le 7 juillet, que "la Ville de Bourges n'a pas souhaité modifié l'organisation scolaire actuelle de façon précipitée". Mais que celle-ci "aura à se prononcer sur cette question dès lors que le contexte juridique et financier posé par ce décret sera connu". Pour ce qui concerne les destinataires des courriers, il nous écrit "Le courrier que j'ai adressé aux directrices et directeurs d'écoleétait destiné à être porté à la connaissance de l'ensemble des membres du conseil d'école. A l'avenir, cette mention apparaîtra clairement dans les courriers que nous adresserons aux écoles."

 

Comme de nombreux enseignants des écoles du Cher,

rejoignez un syndicat indépendant

qui défend les revendications des collègues

quelque soit la "couleur" du gouvernement

bulletin_adhesion_SNUDIFO18

10 juillet 2017

Evaluation des enseignants

4_pages spécial du SNUDI-FO - Janvier 2017

Extraits:

L’accompagnement : une multiplication des visites dans la classe de chaque enseignant

« Chapitre IV : Dispositions relatives à l’accompagnement des enseignants ».

« Art 23.- Tout professeur des écoles bénéficie d’un accompagnement continu dans son parcours professionnel. Individuel ou collectif, il répond à une demande des personnels ou à une proposition de l’institution »

Le texte précise donc que l’accompagnement peut répondre « à une proposition de l’institution ».  Moins d’ « inspections » pendant sa carrière ne signifie donc pas moins de visites dans sa classe, bien au contraire.

Accompagnement continu = stagiaires à perpétuité

Ainsi, les titulaires, devraient se soumettre comme des stagiaires, à une multitude de visites, d’injonctions, de rapports, de contrerapports, de demandes diverses et variées en fonction des circonscriptions, n’ayant rien à voir avec les droits réglementaires et statutaires de PE titulaires, notamment le respect de l’indépendance professionnelle et donc de nos choix pédagogiques.

Ce décret instaure donc de nouveaux rapports entre le PE et sa hiérarchie : dans le cadre de cet « accompagnement continu » nous risquons d'être traités comme des « stagiaires à perpétuité » !

28 juin 2017

Après la publication du décret Blanquer sur les rythmes scolaires

 

_logo-snudi-2012

 

"Le ministre publie le décret sur les rythmes scolaires

 Pour le SNUDI-FO c’est toujours NON à la territorialisation

Oui aux 4 jours pour tous, sur 36 semaines,
sur tout le territoire national"

 

 

Partout en France, les enseignants syndiqués ou non, les personnels des collectivités territoriales, les parents adhèrent à ces revendications et agissent pour leur satisfaction.

Tous les jours, de nouvelles municipalités demandent à retourner à la semaine de 4 jours. Des centaines s’engagent pour septembre 2017 et des milliers pour la rentrée 2018.

Partout et pour tous, il s’agit de rétablir une organisation de la semaine scolaire commune à tous les enseignants de toutes les écoles du territoire national, ne fluctuant pas d’une ville à l’autre en fonction des orientations politiques des élus locaux, des finances des collectivités locales et des contingences territoriales.

Partout et pour tous, il s’agit d’en finir avec la calamiteuse réforme des rythmes scolaires et d’en finir également avec les décrets Peillon/Hamon, aggravés par le décret Blanquer qui assujettissent nos obligations statutaires d’enseignants-fonctionnaires d’État aux décisions des maires (ou des EPCI).


Le SNUDI -FO veillera à ce qu’aucun obstacle ne soit mis au passage 4 jours sur 36 semaines dès la rentrée 2 017. La volonté très majoritaire des enseignants doit être entendue.

Plus que jamais, amplifions la campagne pour:

4 jours pour tous (lundi, mardi, jeudi, vendredi), dans toutes les écoles, dans toutes les communes, sur 36 semaines !

Maintien de la définition nationale des dates de congés et vacances scolaires sans possibilité de dérogation !

Abandon des PEdT, non à l’ingérence des élus, non à la confusion scolaire/périscolaire !

Signez la pétition, prenez postion ici : PRISE DE POSITION EN LIGNE

 

Communiqué SNUDI-FO ci-dessous:

Le ministre publie  le décret sur les rythmes scolaires

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